11ant
24.02.2019 20:22:18
- #1
S'il vous plaît, pas de drames, mesdames !
Mettons de côté le sujet de savoir si nous aurions signé un tel contrat de construction. Et considérons comme données les conditions-cadres suivantes :
1) "Un toit à un étage et demi" avec un mur-pignon de 0 à 120 cm et un toit à deux versants incliné de 35 à 55° ;
2) Un financement souhaité non négociable pour 135 mètres carrés.
Le mètre carré peut se calculer de différentes manières, c’est pourquoi l’entrepreneur veut que le contrat précise ce qu'il entend par là. Les méthodes de la DIN et du règlement sur les surfaces habitables diffèrent – non seulement dans le calcul en soi, mais aussi dans la désignation et la prise en compte des surfaces habitables, des surfaces utiles et des surfaces de circulation.
Dans ce cas, l’entrepreneur veut être payé de la même manière pour chaque pièce construite, qu’il s’agisse d’un salon ou d’une chaufferie, sans déduction pour les surfaces à plâtrer. Je ne partage pas la crainte qu’il veuille aussi prendre en compte pleinement les surfaces partielles entre 120 et 200 cm de hauteur.
Je trouve un mur-pignon compris entre 100 et 120 cm optimal : on a alors complètement éliminé le sujet du bas de pente. Un de mes mantras est d’ailleurs qu’un mur-pignon n’a de sens que s’il remplace entièrement le bas de pente – ce qui pourrait être le cas ici. Un mur-pignon nul avec un bas de pente aménagé en rangements ne me paraît pas idéal, car bas de pente et réglementation sur les économies d’énergie ne font pas bon ménage. Je ne rejette donc pas catégoriquement l’alternative "rez-de-chaussée plus grand et mur-pignon nul", mais la suivrais avec peu d’enthousiasme.
J’explique l’épaisseur des murs comme suit : 15 cm de terre argileuse expansée, 14 cm d’ITE, 2 cm d’enduit pour les murs extérieurs, les murs intérieurs de 15 cm probablement aussi en terre argileuse expansée, 12 cm pour les murs intérieurs, que j’imagine en construction sèche.
Même selon la DIN, les surfaces basses étaient dévaluées et les bas de pente non utilisés pas du tout pris en compte.
Mettons de côté le sujet de savoir si nous aurions signé un tel contrat de construction. Et considérons comme données les conditions-cadres suivantes :
1) "Un toit à un étage et demi" avec un mur-pignon de 0 à 120 cm et un toit à deux versants incliné de 35 à 55° ;
2) Un financement souhaité non négociable pour 135 mètres carrés.
Le mètre carré peut se calculer de différentes manières, c’est pourquoi l’entrepreneur veut que le contrat précise ce qu'il entend par là. Les méthodes de la DIN et du règlement sur les surfaces habitables diffèrent – non seulement dans le calcul en soi, mais aussi dans la désignation et la prise en compte des surfaces habitables, des surfaces utiles et des surfaces de circulation.
Dans ce cas, l’entrepreneur veut être payé de la même manière pour chaque pièce construite, qu’il s’agisse d’un salon ou d’une chaufferie, sans déduction pour les surfaces à plâtrer. Je ne partage pas la crainte qu’il veuille aussi prendre en compte pleinement les surfaces partielles entre 120 et 200 cm de hauteur.
Je trouve un mur-pignon compris entre 100 et 120 cm optimal : on a alors complètement éliminé le sujet du bas de pente. Un de mes mantras est d’ailleurs qu’un mur-pignon n’a de sens que s’il remplace entièrement le bas de pente – ce qui pourrait être le cas ici. Un mur-pignon nul avec un bas de pente aménagé en rangements ne me paraît pas idéal, car bas de pente et réglementation sur les économies d’énergie ne font pas bon ménage. Je ne rejette donc pas catégoriquement l’alternative "rez-de-chaussée plus grand et mur-pignon nul", mais la suivrais avec peu d’enthousiasme.
J’explique l’épaisseur des murs comme suit : 15 cm de terre argileuse expansée, 14 cm d’ITE, 2 cm d’enduit pour les murs extérieurs, les murs intérieurs de 15 cm probablement aussi en terre argileuse expansée, 12 cm pour les murs intérieurs, que j’imagine en construction sèche.
Et malheureusement, dans une construction à un étage et demi, c’est la même chose que pour une villa urbaine, ou est-ce que je me trompe ?
Même selon la DIN, les surfaces basses étaient dévaluées et les bas de pente non utilisés pas du tout pris en compte.