11ant
28.10.2024 16:28:25
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Oui et non. Pas de tri, mais tirer des conclusions de leurs réponses dans le choix stratégique et adapter la planification ultérieure en fonction des candidats avec lesquels on préférerait construire, en tenant compte de cela dans la construction du mur. Ni oui, ni non, et procéder de manière « normale » lors de l’appel d’offres ultérieur, oui. Simplement leur faire expliquer les constructions de murs et en tenir compte dans la planification ultérieure, exemple :ah donc en pratique, il s’agit dès le début du processus de trier les constructeurs de gros œuvre et d’en choisir un pour le soutenir, mais sans engagement pour la construction. Ensuite, l’appel d’offres se fait normalement.
Si, ils l’ont été : 46 cm d’épaisseur totale, 17,5 cm de parement porteur, 11,5 cm de parement extérieur, entre les deux probablement une couche isolante et une lame d’air totalisant ici 17 cm (pour le garage, si c’est un garage non chauffé, cela n’a pas de sens, alors éventuellement avec la conséquence d’établir une transition dans le détail de l’angle entre la couche de parement extérieur et les plaquettes). Le calibre total de 460 sort du rythme. Le candidat A construit un calibre 425 (compatible avec le rythme) mais avec 3,5 cm de moins au total en isolation et lame d’air (ou éventuellement 15 cm de pierre de sable et chaux comme couche porteuse, avec alors seulement 1 cm de moins au total en isolation et lame d’air). Dans l’exemple, ce serait une isolation avec un WLG plus performant pour compenser sa moindre épaisseur et compenser la moins bonne valeur U de la couche porteuse. Sa démarche précise devrait être demandée. Mais c’est une information produit, pas un conseil approfondi. Les candidats B et C construisent un calibre 490 (également compatible avec le rythme) avec une plus grande surface au sol pour les murs extérieurs, mais plus d’espace pour l’ensemble de la construction. Le candidat B prend 24 cm pour la couche porteuse, a comme le candidat A 3,5 cm de moins au total en isolation et lame d’air (avec les mêmes conséquences que précédemment). Le candidat C reste sur la couche porteuse telle que proposée par l’architecte et a en face 3 cm de plus d’« espace intermédiaire ». Il n’a pas besoin de plus de lame d’air, car de nos jours elle est généralement seulement utilisée comme une petite fissure, donc il peut utiliser une isolation de même épaisseur mais avec un WLG moins performant. Le candidat D construit un calibre total disons 440, donc aussi comme dans la proposition de l’architecte non compatible avec le rythme. La démarche précise qu’il adopte parmi celles mentionnées ici en diversité devrait être demandée (également information produit, pas conseil d’architecte). Tous les fournisseurs de calibres totaux non compatibles avec le rythme ont en commun la nécessité de décider laquelle des deux couches de mur s’intègre dans le rythme (et l’autre en pâtit alors). Cela peut se faire par sciage, ces fournisseurs utilisent du béton cellulaire pour la couche porteuse, ainsi le parement extérieur peut être le maître. Ou par un appareillage désordonné dans le parement extérieur, ce qui exclut catégoriquement l’utilisation d’auxiliaires universels de construction pour le « plaquage » et est rarement envisagé par des fournisseurs soucieux des coûts. Alors la couche porteuse peut être le maître. Ou la réponse est : « Hein ? – ça nous est égal, nous construisons toutes les dimensions fantaisistes que vous voulez. » Alors mes fidèles lecteurs savent immédiatement qu’il faut « prendre la fuite (et effectivement : éliminer le fournisseur) », car cela conduirait directement à une bataille sauvage pleine de bricoleurs et de dimensions de recouvrement mal maîtrisées. Il y a donc, malgré tout pluralisme et toute tolérance, toujours des réponses « objectivement fausses ». J’évalue aussi cela dans le choix stratégique, avec la conséquence correspondante de recommander aux maîtres d’ouvrage de ne plus intégrer le candidat à l’appel d’offres ultérieur. Les candidats A à C (et si D donne une réponse raisonnable aussi) peuvent bien sûr participer à la finale. Je m’attendrais donc clairement aussi à des déclarations précises de ton architecte sur l’aspect de ses détails de murs. Hausser les épaules serait une « mauvaise réponse » et me conduirait à ne plus avancer avec lui vers le module B ou la phase de prestation 3 après la phase de repos de la pâte. La phase de repos de la pâte conduit plus fréquemment à une sélection d’architectes qu’au choix simultané des fournisseurs (« sélection » dans les deux cas au sens d’élimination lors du casting).Les détails exacts de la maçonnerie n’ont pas encore été discutés,
Décalé d’un quart de longueur de brique par rapport à quoi : à la rangée inférieure adjacente, avec la conséquence d’un escalier dans la jonction ? Tu vois j’espère que ce n’est pas si simple, il faut constamment examiner les petits lutins de près. Il peut y avoir de nombreuses voies vers Rome - mais aussi sans cesse de nouvelles mauvaises réponses, que l’expert accompagnant n’a pas encore en sa collection. Et pour le profane il est souvent difficile de les distinguer – pourtant c’est lui qui paie pour la qualité de construction éventuellement compromise. Et il devrait aussi être clairement devenu évident pourquoi je travaille de manière préventive en tant que conseiller, mais pas en tant qu’expert moi-même, car ce sont rarement les autres qui restent avec les discours funèbres.je sais juste que pour les autres constructions, le montage en alignement décalé d’un quart de longueur de brique est standard.