Financements à 100 % - Je comprends ça !

  • Erstellt am 23.04.2020 17:19:43

Marit

25.04.2020 11:02:41
  • #1


Eh bien, peut-être faudrait-il aussi réfléchir personnellement à ce qui a mal tourné, si c'est comme ça que cela se passe à temps partiel, et se remettre un peu en question.
Je travaille à temps partiel après des études universitaires, mais je reçois des tâches correspondant à mes qualifications.
 

saralina87

25.04.2020 11:11:56
  • #2


D’habitude, je suis absolument tolérante sur ce sujet et j’accepte en principe tous les modèles de vie – mais celui-ci, je ne peux vraiment pas le comprendre.
Je ne comprends pas en soi pourquoi on voudrait un enfant avec qui on ne peut ou ne veut presque pas passer de temps après – dans ces conditions, on ne s’achèterait même pas un chien…
Je vais bientôt devenir maman moi aussi, j’ai aussi fait des études et je n’ai pas l’intention de renoncer à mon objectif de carrière personnel – mais puisque le désir d’enfant était là maintenant, la carrière doit attendre. Dans la mesure où tu le décris, le souhait d’enfant et de carrière ne sont simplement pas conciliables, non pas parce que la prise en charge ne pourrait pas être assurée (il existe des offres appropriées), mais parce qu’on doit en fait comprendre qu’il faudra forcément sacrifier du temps à l’un ou à l’autre.
 

Zaba12

25.04.2020 11:32:07
  • #3

Aussi absurde que soit cette comparaison, elle est vraie si on ne peut pas emmener le chien au bureau.
 

Pinkiponk

25.04.2020 11:37:28
  • #4
Intéressant que cette discussion soit toujours menée comme au siècle dernier... et tout aussi intéressant que les femmes se tirent toujours dans le dos entre elles.

Mon expérience en tant que profane :
Après la réunification, des employés socialisés dans l’ancienne RDA (je suppose que le système éducatif de l’ancienne RDA est connu) sont venus dans notre entreprise ici à l’Ouest. Toute l’équipe faisait aussi beaucoup de choses ensemble dans la vie privée, car nous étions tous du même âge et travaillions dans le domaine universitaire. Ainsi, je pense pouvoir me faire une opinion.
Aucun d’entre eux ne m’a paru plus ou moins "endommagé" que les employés élevés/grandis ici à l’Ouest. La seule différence que j’ai cru percevoir était que les employés de l’ancienne RDA me paraissaient socialement plus compétents. Par exemple, ils apportaient plus souvent des gâteaux, aidaient davantage à la préparation des fêtes de Noël, pensaient plus fréquemment aux anniversaires des collègues, etc. De mon point de vue, cela peut tout à fait être lié au fait qu’ils ont appris dès leur plus jeune âge à interagir avec d’autres êtres sociaux et à être confrontés à leurs besoins.
En ce qui concerne le bonheur personnel, la conduite de la vie privée et la réussite professionnelle, je n’ai pas constaté de différence chez les personnes qui n’étaient pas exclusivement élevées dans leurs premières années par la mère ou le père.
 

HilfeHilfe

25.04.2020 11:42:55
  • #5

Ok, et quel rapport avec le temps plein / temps partiel / carrière ? Les « ossis » avaient aussi l'habitude de s'isoler et de ne rencontrer que des ossis à l'Ouest. J'ai une femme ossi et elle détestait être invitée sans cesse à des rencontres entre ossis. Nous y sommes allés ensemble deux fois. Ça m'a paru complètement déconnecté de la réalité ! Comme si à l'Est on savait gérer les soins et l'éducation, alors qu'ici à l'Ouest tout coûte cher. Oui et ? Retourne à l'Est. Ah bon, pas de bons emplois payés... eh bien alors.
 

Joedreck

25.04.2020 11:45:45
  • #6
Tant nos concitoyens de l'ancienne RDA que, par exemple, les Français ont été et sont très tôt confiés à la garde. J'ai beaucoup voyagé professionnellement, j'ai vraiment rencontré de nombreux collègues. Moi aussi, je n'ai jamais eu l'impression que les gens de l'ancienne RDA étaient d'une quelconque manière différents (à part les différences régionales en général). Nos enfants ont été familiarisés avec la crèche à 1,5 et 1 an. Personnellement, je ne vois vraiment aucun inconvénient à cela. Nous avons une relation excellente avec nos enfants. D'autres enfants de la crèche que je connais ont également très bien réussi. Très polis, drôles, créatifs avec un bon caractère. C'est une question de coopération entre l'éducation de la crèche et celle des parents.
 
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