Tarnari
10.09.2021 23:44:07
- #1
Désolé, temps limite dépassé pour le traitement, donc je le dis encore après coup :
Juste un exemple : le droit de rétractation de 14 jours en vigueur en Allemagne n’est certes pas comparable et je ne veux pas d’un droit de rétractation ni quoi que ce soit, mais cela montre ce qui est théoriquement possible en matière de protection des consommateurs... ça ne doit pas forcément être aussi extrême.
Désolé, je suis totalement du côté de Pinkis. Pour moi, ça sent le vieux poisson.
Mais la comparaison avec le droit de rétractation dans la loi sur la vente à distance est vraiment inappropriée. Ici il s'agit de produits définis. Des articles standards, produits mille fois, millions de fois de façon identique.
Le droit légal de rétractation ne s’applique qu’aux achats dans le cadre de la loi sur la vente à distance, car les produits ne peuvent pas être inspectés auparavant. C’est pourquoi, contrairement à une opinion répandue, il n’y a pas de droit de rétractation dans le commerce de détail. S’y ajoutent les contrats conclus par Internet ou par téléphone, car il est également supposé là-bas que la portée d’un contrat n’est pas claire lors de la conclusion et qu’il faut donner au client la possibilité d’examiner la chose achetée même après la conclusion du contrat.
Les produits sur mesure, par exemple, sont explicitement exclus. Un tableau commandé, un meuble construit sur mesure, etc. sont exclus du droit de rétractation. Là aussi, il existe des possibilités, mais elles sont très complexes.
À mon avis, une maison devrait a) être une chose extrêmement individuelle et b) personne ne planifie et ne commande une maison en ligne. Selon le prestataire, on reçoit des contrats ou des offres. On peut les lire tranquillement et commander ou non.
Le droit de rétractation dans la loi sur la vente à distance est bien (malheureusement souvent abusé), mais ici il n’a rien à faire.
Indépendamment de cela, je crains que se fasse avoir. À ta place, je consulterais vraiment un avocat. Et même si c’est juste pour savoir sur quelle base je prends mes décisions, payer plus. L’avocat dira peut-être « ça ne va pas du tout, il n’a aucune chance de réussir ».
Cela ne signifie pas un litige, juste une lettre qui vous place dans une autre position en cas de nécessité.
Peut-être que l’avocat dira aussi « hum, compliqué. Pour moi, ça semble douteux.
Je peux faire quelque chose mais pas promettre que ça fonctionne. » c’est alors du poker.
Dans le pire des cas, il dira « désolé, tout est en ordre. Ça ne sert à rien. »
Quoi qu’il en soit, dans les trois cas, vous avez le choix de la suite à donner. Ce n’est au début qu’un conseil juridique. Rien de plus.
J’aurais le besoin de savoir où j’en suis et ensuite de prendre ma décision.