Augmentation des prix - Notre entreprise de construction veut 21,4 % de plus

  • Erstellt am 07.09.2021 16:10:26

ypg

10.09.2021 17:01:40
  • #1
Quel est donc maintenant le prix moyen, cher ?
 

Markiso

10.09.2021 17:09:10
  • #2


Je comprends que vous êtes du « côté opposé », c’est-à-dire l’entreprise de construction. C’est donc encore bien de vouloir résoudre cela sans passer par la justice, cela aide tout le monde à la fin. Moi, j'ai eu exclusivement d'autres expériences… là, même les discussions sont catégoriquement refusées. On attend juste que ça se tasse ou la solution pour ces escrocs est la suivante : prends ou crève.
 

Myrna_Loy

10.09.2021 17:16:58
  • #3

Non, nous sommes maîtres d’ouvrage et représentons les maîtres d’ouvrage en tant que gestion immobilière.
 

rdwlnts

10.09.2021 17:18:07
  • #4

J'espère vraiment que cela ne se passe pas comme chez nous, mais nous n'avons reçu une liste complète des majorations et réductions de prix qu'après environ 3 mois...
 

Pinkiponk

10.09.2021 19:18:35
  • #5

C'était dans le message en grande partie perdu : Je dois encore attendre la liste des plus et des moins et j'ai ensuite l'intention de communiquer les coûts affectés dans un fil séparé. Pour le moment, je ne sais pas encore vraiment, car des postes restent à venir.
 

11ant

10.09.2021 20:40:25
  • #6

Les hausses de prix ne sont en réalité pas douteuses, et la question de savoir si elles sont correctement répercutées dans leur ampleur est en effet un sport de haut niveau pour les juristes spécialisés. En tant que commerçant, j’ai toute ma sympathie pour le fournisseur. Et en tant que conseiller en insolvabilité, je conseillerais même ici de laisser passer et de se laisser modérément léser par le fournisseur de cette manière, de lui laisser passer un supplément commercialement vital pour la survie, même au-delà de la question du droit de la consommation. Cela me semblerait opportun dans la mesure où l’on peut ainsi contribuer à continuer à travailler avec son partenaire contractuel et à éviter qu’à sa place intervienne son administrateur judiciaire – car par rapport au plaisir avec ces gars-là, une petite irrégularité d’un filou est un jeu d’enfant.

Ce qui me fait alors serrer le poing dans la poche, c’est cette communication déplorable de ne pas informer immédiatement des hausses de prix après l’expiration de la garantie de prix. Le point où le poing dans la poche devient un couteau qui se déplie, c’est quand on a infligé au client le choc le plus court possible avant la sélection des matériaux. Mais même cela était d’abord « seulement » ennuyeux.

Je considère l’accomplissement de ce vol à main armée au moment où les plus de 20 % mentionnés (vingt et un virgule quatre ne sont pour moi qu’une valeur symbolique du « devoir de précision et d’exactitude calculée au maximum ») se sont révélés être un tour de passe-passe – manifestement introduit dans la discussion uniquement pour permettre au quinze pour cent de faire redescendre le pouls accéléré, et aussi pour faire apparaître le partenaire contractuel comme un camarade humain qui fait tout pour la modération. Devant un public de fraudeurs et d’enquêteurs criminels, la salle vibrerait, et cette comédie recevrait des ovations debout.

Dans la situation de la prétendue conférence de limitation des pertes avec accord ultérieur sur ce qui me semble être un résultat longuement planifié par la direction, je vois des caractéristiques essentielles remplies d’un contrat conclu à domicile. Au cours d’un appel téléphonique entre juristes, j’imagine la partie adverse baisser la tête coupable dans les deux premières minutes et être prête aussi bien à une résiliation amiable du contrat qu’à un compromis à 0,6 point de pourcentage par mois entre la fin de la garantie de prix et une remise sans retard supplémentaire. Comme j’évalue , la gifle pour ce « partenaire » contractuel peu sportif ne vaut pas pour elle qu’elle doive tout recommencer. C’est pourquoi je considère la seconde voie comme la plus recommandable et aussi la plus prometteuse. Je ne serais pas surpris que le juriste de la partie adverse se sente personnellement visé. Je connais trop bien la horde pour imaginer des chemises propres sous les robes ;-).


Cela fait vraiment une différence notable de savoir si c’est un avocat qui frappe à la porte ou le client lui-même. Un juriste ne se laisse pas facilement faire croire que son canot gonflable ne peut que chavirer d’emblée. Le client lui, en haute mer, a vite peur à l’avance et se voit sans chance face à la baleine.
 

Sujets similaires
10.11.2017Paiement supplémentaire pompe à chaleur air, désastre, partie contractante, fournisseur d'électricité11
02.06.2021Contrat de travail hausses de prix droits10

Oben