Modèle autochtone - est-ce toujours légal ?

  • Erstellt am 12.06.2018 11:55:44

Yosan

16.05.2019 21:07:52
  • #1
Hmm.. je suis aussi "local" (je vis actuellement à côté de mon village natal et la maison est en train d'être construite de l'autre côté à côté de mon village natal, donc d'ici à deux villages plus loin) mais je ne connais pas vraiment tous les problèmes mentionnés. Soit nous avons ici des nouveaux arrivants plus compatibles, soit pas du tout... bien que je connaisse au moins une famille de Berlin dans notre futur lieu de résidence et qu'ils soient parfaitement intégrés. Cela dépend certainement toujours aussi du fait d'avoir, par exemple, les locaux comme collègues de travail. Si une métropole est vraiment proche, ce sera probablement plus difficile que s'il n'y a que de petites villes avec donc moins d'employeurs différents.

Je ne connais pas non plus de modèle local ici. Et au moins dans le nouveau quartier résidentiel le plus récent de mon village natal, il y a des familles d’autres communes qui ne travaillent pas dans la commune ou autre, donc au moins apparemment rien n’était limité à la commune.
Ici, le manque de terrains n’est probablement pas assez grand et les locaux obtiennent des parcelles de construction par des amis/parents.
 

Nordlys

16.05.2019 21:10:51
  • #2
Sur la côte, c'est un vrai problème. Le plus fort à Sylt, mais en atténuation dans toutes les stations balnéaires qui étaient autrefois des villages, et qui sont maintenant Porsche et café important sur la promenade, Pro Secco 8,- euros par verre.
 

Müllerin

16.05.2019 21:37:42
  • #3
hm donc, si on emménage dans un village, il faut aussi vouloir s’intégrer soi-même. Se bouger un peu soi-même, et ne pas attendre qu’on vous invite.
 

hampshire

16.05.2019 21:49:42
  • #4
Il est bien sûr naturel que quelqu’un qui emménage doive aussi aller vers ses nouveaux voisins, se présenter et s’intéresser.
Dans la petite ville où je suis né, mes parents étaient arrivés en tant que nouveaux habitants. J’avais beaucoup d’amis et une bonne enfance et j’étais considéré comme un nouvel arrivant. Participer au club de sport, à la politique municipale n’était pas un problème. À l’occasion d’une fête de tir, lorsque les femmes façonnaient à nouveau des petits rouleaux, une dame âgée a demandé à ma mère depuis combien de temps elle était déjà au village (devenu entre-temps une ville). Ma mère répondit « 30 ans ». Alors la dame sourit et dit : « Dat gilt, Mädchen, dat gilt. »
Ceux qui ne supportaient pas d’être des « nouveaux arrivants » trouvaient, avec cette croissance énorme passant de 6000 habitants en 1970 à plus de 40000 en 2010, plein d’autres arrivants. Tout fonctionne assez bien. Les prix de l’immobilier sont inabordables avec 2 salaires moyens.
Les nouveaux arrivants, comme décrits par , se surpassent avec les véhicules, les voyages de vacances et les performances des enfants. Les vraiment aisés sont soit des cadres supérieurs de Düsseldorf, soit les autochtones dont les terres sont peu à peu devenues des terrains à bâtir.
Je voulais juste dire que le fait d’aller les uns vers les autres, comme le décrit, est efficace et qu’il faut pour cela la bonne volonté de tous.
 

haydee

16.05.2019 22:38:24
  • #5
Mon mari est également un immigrant

Le développement doit être sain et lent. Beaucoup de choses doivent grandir en même temps, pas seulement la colonie.

La ville qui veut de plus en plus d’entreprises, etc., et les obtient doit assurer des logements. Abordables pour tous.

Ici, il y a un village, les immeubles de grande hauteur datant de l’époque militaire. Ils essaient de les exproprier et de les démolir. Je comprends parfaitement. Là vit un mélange coloré de personnes défavorisées qui ont eu le choix entre le café ou le pont. Cela a créé un déséquilibre ou il existe une étude permanente sur le thème « Effets de l’alcoolisme »
 

Jean-Marc

17.05.2019 07:21:11
  • #6


Cela n’est pas non plus nécessaire chez nous en Hesse du Nord et du Centre, car heureusement, il n’y a pas 200 candidatures pour 10 parcelles constructibles, comme c’est parfois le cas dans les zones d’immigration de Bavière et du Bade-Wurtemberg. Il doit bien y avoir un avantage à ce qu’il n’y ait pas ici une multitude de très grands employeurs. Dans la région Rhin-Main, la situation est probablement différente.
 
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