Modèle autochtone - est-ce toujours légal ?

  • Erstellt am 12.06.2018 11:55:44

Grantlhaua

17.05.2019 07:25:28
  • #1


Le problème, ce sont pourtant les grands lotissements. Si là-bas ce ne sont que des nouveaux arrivants qui construisent, c’est comme une île, comme l’a bien reconnu . Les associations ne vont pas sonner à chaque porte et inviter tout le monde à chaque événement social du village. Nos nouveaux voisins sont aussi des arrivants mais ils sont dans un vieux quartier résidentiel, où nous avons comblé une lacune. Là, l’intégration est alors différente que si 30 maisons naissent sur un terrain vierge et que 28 soient vendues à des étrangers.
 

Grantlhaua

17.05.2019 07:27:29
  • #2


Le problème, c'est que tout le monde aimerait habiter au Marienplatz pour 500€ charges comprises....
 

Tina mit K

17.05.2019 08:37:27
  • #3
Puisque nous parlons justement d'intégration dans le village, j'aurais aussi une question :

Nous construisons dans un quartier qui ressemble plutôt à un petit village à part entière. En face, il n’y a pas de maisons, à gauche de nous il y a deux nouvelles maisons individuelles, puis commence la « vieille partie » du village. À droite, il y a un espace vide puis encore 4 maisons avant la sortie du village.

Jusqu’où et quand vous imagineriez-vous ? Jusqu’à quelle maison ? Nous inviterions en tout cas les voisins à la fête de la charpente, mais nous envisageons de faire du porte-à-porte un peu plus tôt. Nous avons déjà eu plusieurs contacts avec le voisin direct à gauche et tout est parfait avec lui.
 

Altai

17.05.2019 08:39:42
  • #4
J’ai aussi acheté une petite maison dans un village incorporé, la ville a grandi jusqu’à là, mais il y a quand même une sorte de démarcation. Il y a pas mal de maisons neuves, pas un lotissement neuf, mais des parcelles à bâtir déjà viabilisées.
Beaucoup de gens nous saluent très chaleureusement, s’enquièrent, se réjouissent que la construction reprenne enfin. En face se trouve le jardin d’enfants, on croise donc beaucoup de familles.
Une de mes voisines (et sa fille un peu plus loin) est « locale ». Je les connais toutes les deux depuis plus de 20 ans, par un loisir, donc pas seulement de façon superficielle. Alors que je m’entends très bien avec la mère, la fille a apparemment dit qu’elle n’était pas très heureuse que je m’installe là. Apparemment, elle aurait préféré quelqu’un avec des garçons, son fils n’a pas de copain, il n’y aurait que des filles dans le village... Je ne l’ai pas encore rencontrée ici sur place.
Un autre papa (qui habite un peu plus loin dans la rue, à moins de 100 m) m’a demandé si des enfants allaient venir aussi, j’ai répondu oui, deux filles. Ah ce serait bien, il n’y aurait que des garçons, lui-même en a trois, une femme enceinte est alors passée, elle aussi aurait deux garçons, ce que ce serait cette fois ? Elle a simplement fait un geste avec la main : encore un garçon...
C’est un peu contradictoire. Mon impression ? Il y a là aussi un fossé entre les « locaux » et les arrivants. Et ce n’est sûrement pas à cause de l’arrogance des « nouveaux ». Ceux-ci, d’après mon impression, ne sont pas du tout prétentieux. Ce n’est pas non plus à cause de l’isolement, qui n’existe pas. Je ne sais pas s’ils participent à la fête de l’arbre de mai — je n’y étais pas encore cette année, mais l’année prochaine, je vais m’organiser pour y aller. Je suis curieuse.

Un autre exemple : j’avais parfois, dans mon travail, affaire au Sauerland. Là-bas, dans l’entreprise concernée, nous avons rencontré un « Ossi ». Il avait été réinstallé là-bas après la réunification à cause du travail, et y était déjà depuis 15 ans à l’époque. Il disait qu’il n’avait aucune chance, qu’il resterait un étranger toute sa vie. La « ligne de séparation » là-bas, c’est : as-tu une plantation de sapins de Noël ? Si oui, super, sinon : tu restes en dehors. Il voulait partir parce qu’il ne s’y sentait pas bien. Le directeur de l’entreprise, le responsable technique et d’autres cadres supérieurs n’étaient pas joignables tout le mois de décembre parce qu’ils devaient couper et vendre leurs sapins de Noël. Ça existe aussi...
 

HilfeHilfe

17.05.2019 08:42:04
  • #5
Les nouvelles maisons sont les „ nouvelles „ dans la rue. Sauf s’ils sont justement les petits-enfants et que tout le monde les connaît. Donc, moi je inviterais toute la rue. D’expérience, il ne vient de toute façon que 50 % et ceux qui viennent sont sympathiques et vous pouvez ^ bien sûr ^ vous arranger avec eux. Lors de ce genre de fêtes, c’est aussi toujours bien d’entendre qui s’entend bien avec qui. Et d’abord rester neutre.
 

haydee

17.05.2019 08:59:19
  • #6

Invite tout le monde. Il n’y en a pas beaucoup et personne ne pourra dire que tu ne veux pas de contact. De toute façon, il y en a au maximum 50 %.
Je pense que le plus important, ce sont les discussions au coin de la clôture et, quand les listes d’aide ou les invitations aux fêtes arrivent à la maternelle/école, ne pas s’exclure de là.


Il y en a partout, des bons et des mauvais. Qui sait ce qui a contrarié la bonne.
 
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