Fournisseur de maisons préfabriquées en bois pour maisons individuelles en Basse-Saxe

Merci beaucoup pour ton retour !

- L'entrée n'a pas de couverture.

C'était/est un problème dont nous sommes conscients. Nous avions une version où l'entrée était rentrée (voir pièce jointe). De l'extérieur, cela paraissait étrange. Nous avons maintenant envisagé de simplement installer une protection contre la pluie sobre sur la façade. Les 60 cm de débord de toit ne sont probablement pas suffisants ?

- Le vestiaire/couloir est un peu divisé en deux, mais on peut s'y habituer.

C'était déjà dans la première version littéralement séparé par une porte, comme on le voit dans la pièce jointe.

- La table à manger est dessinée assez petit avec 1,50 m. L'architecte devrait plutôt prévoir 1,80 m, sinon 2,00 m, ou 2,40 m pour les familles plus nombreuses ou quand on reçoit beaucoup.

Les 1,50 m correspondent à notre table actuelle, que nous rallongeons lors des visites.

- La baie vitrée dans la salle à manger ne correspond pas au milieu (vue de l'extérieur), d'accord, je suis peut-être un peu pointilleux.

Cela me dérange beaucoup plus du côté nord que du sud, mais on ne peut (malheureusement) pas le nier.

- Un canapé est prévu dans la baie vitrée. En principe, il faut se demander qui voudrait se frotter le dos contre les montants des fenêtres ou les surfaces froides.

Dans la baie vitrée, il est prévu un siège de fenêtre, pas un canapé. Pas pratique ?

- Salon : comment regarder la télévision en aménageant sans se tordre le cou ?

Pas du tout. Nous sommes heureux sans télévision. À côté de la fenêtre sud se trouve un piano. En face, un orgue.

- Peu de cuisine, peu d’espace de rangement. Les chaises serrées comme des poules sur une perche n’ont jamais très bien fonctionné, même dans les années 2000.
Les positions assises gênent aussi l’accès principal à la terrasse.

Sans entrer dans les détails de la planification de la cuisine : dirais-tu que la cuisine est fondamentalement mal conçue en termes de dimensions ou est-ce seulement l’agencement actuel qui est mauvais ? Notre seule exigence pour la cuisine était, en plus de la séparation du salon, qu’on puisse y prendre un petit déjeuner à quatre le matin en limitant l’espace utilisé.

- Si je lis que les portes sont fermées en cuisinant, on ne peut apparemment pas accéder du tout à la terrasse ?

On peut sortir par le salon à l’arrière aussi.

- La salle de bains des enfants à l’étage a une porte de 73 cm… à côté, il n’y a pas de place pour un interrupteur, la douche fait 90 en dimensions brutes, donc environ 80 réels ?
- il n’y a pas de baignoire.

Bonne remarque. Je ne l’avais pas encore remarquée. La salle de bains étroite des enfants est due aussi à l’évolution du plan. Au départ, nous ne voulions pas de pièce supplémentaire à l’étage. Ainsi, la chambre d’amis dans la première version était la salle de bains pour enfants. La salle de bains actuelle était une buanderie. Comme nous passons relativement peu de temps dans la salle de bains, la part de cette dernière sur la surface totale de la maison nous paraissait un peu trop grande, si bien que la salle de bains enfants est passée à la buanderie et la buanderie au sous-sol. Pas de douche est aussi, tout comme pas de TV, un choix conscient. Penses-tu qu’on puisse résoudre ce problème ? Interrupteur à l’extérieur ? Ou détecteur de mouvement ?

Il y a maintenant deux pièces de réserve, mais je ne sais plus si le télétravail joue un rôle,

Le télétravail classique non. Mais travailler le soir et le week-end oui. Une pièce de réserve suffirait à cet usage.

Personnellement, je préférerais sans doute une pièce à vivre plus large d’un mètre pour quatre personnes plutôt qu’un étage supplémentaire.
Cela risque cependant d’être un peu étroit avec un coefficient d'occupation des sols de 0,2 par exemple.

Je m’y habitue de plus en plus aussi. Cela pourrait aussi résoudre le problème de symétrie. Le coefficient d’occupation des sols est de 0,25. Je vais faire les calculs.

J’essaie de répondre aux diverses remarques en mode résumé plutôt que chronologique et à toute vitesse, puis de passer à la méthodologie de conception :

Je peux te dire à quoi ressemble la façade extérieure : totalement de travers. Je ne voudrais pas ça.

Je dis toujours « la symmetry est une esthétique (remplaçante) pour les dyslexiques des proportions (et en tant que non-valeur_en_soi parfaitement dispensable) ». La « combinaison la plus mortelle », cependant, est de « répartir » sur la façade des ouvertures murales placées de manière asymétrique avec des éléments de format similaire.

Hmm, pour un mur extérieur de 36,5 (avec brique) ça m'intéresserait bien la composition prévue du mur extérieur... (d’autant plus en ossature bois)... [...] 36,5 me paraît d’abord monolithique. Donc pas de brique. Avec isolation et lame d’air ça fait plus épais, d’où la question.

L’architecte prévoit des épaisseurs de mur usuelles en maçonnerie (comme prétendu neutre à la technique de construction) avec la justification originale que, en moyenne, les épaisseurs des panneaux en ossature bois sont similaires. Malheureusement, le résultat se trouve entre deux chaises, car elle planifie avec des mesures à la Pippi Langstrumpf, c’est-à-dire qu’elle ne respecte ni la grille octamétrique de la maçonnerie ni la grille effective de construction du bois. Par conséquent, ça grouillerait de poches de bricolage en maçonnerie, et dans le bois des innombrables remplacements seraient également nécessaires. Avec un parement pare-vue, le calibre 365 comme mesure de référence approximative – que ce soit en maçonnerie ou en ossature bois – ne peut en aucun cas être respecté, et un écart d’environ 10 cm d’épaisseur de mur en trop est programmé.

Oui, c’est encore l’erreur mentionnée par 11ant d’une planification de conception non adaptée au type de construction.

On peut le formuler de manière assez compréhensible pour les profanes comme ça.

Nous voulions initialement une maison de 1,5 étage avec toit à deux versants. L’architecte avait alors recommandé 2 étages complets, car l’étage supérieur est plus flexible. Nous trouvons les villas urbaines carrées standard avec leurs toits en pavillon plats esthétiquement plutôt effrayantes, c’est pourquoi nous avons proposé une forme plus rectangulaire ainsi qu’une baie en saillie et un toit plus pentu, dont nous sommes aujourd’hui assez satisfaits visuellement. [...] Une replanification devrait encore être possible à ce stade. Il était prévisible que nous paierions un peu d’expérience à ce projet.

C’est ainsi ou presque qu’une exégèse naïve typique de la conception se déroule. Cette approche naïve peut être sympathique, mais ce n’est pas pour ça que je consulte une spécialiste. J’attends d’elle qu’elle explique à ses clients la proposition contraire d’une démarche professionnelle. La planification méthodique est en effet le médicament prophylactique le plus efficace contre les replanifications presque prévisibles autrement. Les frais d’apprentissage ici correspondent au tarif pour un tour d’honneur dans la phase de conception ainsi que le temps consacré par tous les participants.

Ça me dérange vraiment. Je ne peux pas encore dire si cela me dérange tellement que je recommence la planification depuis le début. L’asymétrie des côtés est de 89 cm. Si on agrandit à gauche de cette longueur, la maison a 8,2 m² de plus et coûte environ 30 k€ de plus + les coûts de replanification. Dans les toilettes invités en bas la fenêtre pourrait être placée au centre, à l’étage il manque 7 cm dans la configuration actuelle de la salle de bain. Fonctionnellement une salle de bain plus large de 89 cm dans la configuration actuelle à l’étage ne sert probablement pas à grand-chose. Impact sur le plan du rez-de-chaussée : aucune idée.

À noter que le temps perdu fait aussi partie des coûts de la replanification. L’impact sur le plan du rez-de-chaussée si l’on commence par l’étage et sur tous les plans si l’on procède conceptuellement à partir de la position de l’escalier et de la forme du toit : inestimable.

Nos habitudes de vie sont probablement relativement moyennes finalement, je veux dire que nous aurions été heureux aussi avec un plan standard éprouvé d’un fournisseur de maisons préfabriquées. La principale raison pour l’architecte était surtout d’avoir une base uniforme pour la comparaison des offres.

Alors à part ce qui était au cœur de l’objectif, rien n’a été raté.

Les exigences pour la planification étaient : 2 chambres d’enfants à peu près de même taille à l’étage, salle de bains enfants séparée, bureau avec place pour 2 bureaux au rez-de-chaussée, pas de séjour-cuisine-salle à manger ouvert ou bien la possibilité de séparer visuellement et olfactivement la cuisine du séjour/salle à manger, sauna dans la salle de bain des parents et une fenêtre banquette exposée au sud dans le salon.

Ça ressemble enfin ici à des bases utiles pour un développement de conception, même si je ne me lasse pas de répéter que « des chambres de même taille pour des enfants également aimés » est une pensée parentale, rarement exprimée ni appréciée par ceux concernés. On trouve toujours un prétexte pour se plaindre d’un traitement injuste vis-à-vis des frères et sœurs, et ces faits ne les dérangent pas. En plus, les jeunes ont eux-mêmes des critères complètement différents pour ce qu’est une chambre d’enfant géniale.

Notre idée était que la porte coulissante de la cuisine serait fermée quelques fois par semaine pour cuisiner et sinon souvent ouverte. La porte du salon est peut-être vraiment mieux en double vantaux. Je ne sais pas trop encore ce qui est plus pratique.

C’est précisément ce genre de questions hamletiennes qu’un spécialiste doit avoir discutées avec les maîtres d’ouvrage _avant_ de commencer les dessins de plans.

Fallait-il pour cela repenser complètement la maison après la première ébauche ? Peut-être. [...] C’était littéralement par une porte, comme on le voit en annexe aussi dans la première ébauche.

Dès que je lis « premier plan », j’en ai les bigoudis dans la nuque. Premier, deuxième, troisième, quarante-septième plan, c’est précisément ce qui arrive comme un « amen » à l’église quand on renonce au stade de développement « esquisse ».

La petite salle de bains enfants résulte aussi de l’évolution du plan. Initialement nous ne voulions pas de pièce supplémentaire à l’étage. C’est pourquoi la chambre d’amis dans le premier projet était la salle de bain enfants. La salle de bain enfants actuelle était une buanderie. Comme nous passons relativement peu de temps dans la salle de bain, la part de la salle de bain dans la surface totale de la maison nous a semblé un peu excessive, donc la salle de bains enfants est devenue la buanderie et la buanderie est descendue dans le sous-sol. Pas de douche est une décision consciente comme pas de TV. Penses-tu qu’on peut résoudre ce problème ? Interrupteur extérieur ? Ou détecteur de mouvement ?

Voir ci-dessus.

Notre seule exigence pour la cuisine était, outre la séparation du salon, qu’on puisse y prendre un petit déjeuner compact à quatre personnes le matin.

Comment un espace redondant pour petit déjeuner pourrait-il faire gagner de la place ? - je lis là une contradiction.

Pas du tout. Nous sommes heureux sans TV. À côté de la fenêtre sud se trouve un piano. En face un orgue.

Pas de piano sans mur en zigzag (voir ) !

L'architecte prévoit des épaisseurs de mur habituelles en construction en pierre (en prétendant la neutralité des modes de construction) avec la justification originale que, en moyenne, les épaisseurs des murs des panneaux à ossature bois seraient similaires. Malheureusement, le résultat se trouve entre deux chaises, car elle planifie avec des mesures de Pippi Longstocking, ne tenant donc ni compte de la grille octamétrique de la construction en pierre ni de la grille de construction de facto du bois. En pierre, cela entraînerait une prolifération de poches de bricolage, et dans la construction bois, de nombreuses reprises seraient également nécessaires de cette manière. Avec une couche de parement, la dimension 365 comme mesure de référence approximative - qu’elle soit en pierre ou en ossature bois - ne peut en aucun cas être respectée, et un écart d’environ 10 cm d’épaisseur de mur supplémentaire est inévitable.

C'est, avec tout le respect dû, une belle absurdité.

L’architecte conçoit justement en ossature bois et demande à l’avance le niveau d’efficacité énergétique désiré. La mesure de l’épaisseur de mur est la valeur moyenne courante, ce qui est absolument suffisant pour une comparaison entre fournisseurs. Chaque fabricant propose ici des largeurs légèrement différentes. Parfois, même au sein d’un même fabricant, on peut choisir entre différentes compositions murales. Une porte-fenêtre coulissante verticale nécessite une épaisseur de mur différente, etc. ... Une comparaison entre fournisseurs apporte justement cela.

Pour notre planification en tout cas, rien n’a dû être ajusté. Nous avons tout reçu comme prévu, et à un prix absolument attractif.

Si l’on veut construire en pierre, il faut alors le communiquer en conséquence dès le départ. Mais même là, le changement est possible. J’ai eu justement la semaine dernière une conversation où, après l’autorisation de construire, le maître d’ouvrage général a été changé parce que le fournisseur de bois ne pouvait pas proposer de rendez-vous de présentation des produits pendant la période Corona.

C’est franchement n’importe quoi, avec tout le respect que je vous dois.

Malheureusement non – aussi sincèrement que je souhaite à votre sympathique architecte que vous soyez néanmoins satisfaits d’elle. Mais je ne peux malheureusement pas la recommander à 90 % de mes consultants, justement à cause de cette approche.

L’architecte conçoit en mode ossature bois et demande en amont l’efficacité énergétique désirée. L’épaisseur des murs est une moyenne courante, ce qui est tout à fait suffisant pour une comparaison de fournisseurs. Chaque fabricant a ici des largeurs légèrement différentes. Parfois, même au sein d’un même fabricant, on peut choisir entre différentes configurations de murs.

Les recettes de composition des murs diffèrent à peine entre les fabricants Meier et Müller ; les maîtres d’ouvrage ont certainement mentionné le revêtement en brique, qui est généralement compris entre environ 44 et 46 cm chez quasiment tous les fournisseurs. Tous les fabricants proposent du « fait sur mesure » au centimètre près, mais conçoivent néanmoins à un pas normal de 625 mm dans la grande majorité des cas, plus rarement à 833 mm, et bien plus rarement à d’autres largeurs qui sont elles aussi justifiées par le concept. L’ignorance de la pratique ne cause pas réellement moins de surcoûts en bois qu’en pierre.

Si on veut construire en pierre, il faut aussi le communiquer en amont. Mais là aussi, le changement est possible. J’ai eu une discussion la semaine dernière, après le permis de construire, le maître d’œuvre général a été changé parce que le charpentier ne pouvait pas proposer de rendez-vous de sélection pendant la période du corona.

Si on veut construire en pierre (ou si ce n’était pas prévu à l’origine mais que cela est tout de même réalisé), on ne devrait pas devoir corriger les plans alors que l’épaisseur des murs est déjà adaptée, afin d’éliminer les excentricités de bricoleur. Même dans votre projet, elles sont présentes en quantité généreuse (sans qu’il y ait à aucun endroit de raisons pour des exceptions au pas propre). 62,5 cm, en tant que multiple exact de 5,0 fois 12,5 cm, est un pas parfaitement compatible. Des incréments de grille 80/40/20/10 ou 60/20/10 cm dans les plans indiqueraient clairement qu’il s’agit d’exemples à adapter aux dimensions de production les plus proches. Mais lorsqu’on trouve concrètement 142 ou même 141,5 cm, le planificateur de production qui doit réaliser le projet lit cela comme un souhait explicite du client et met tout en œuvre pour réaliser cette mesure fantaisie. Parfois, il y a effectivement des raisons, par exemple quand les maîtres d’ouvrage se sont entichés d’un format particulier et ancien ou étranger de brique et que l’on ne veut pas de sciage dans la façade esthétique coûteuse en main-d’œuvre. À mon avis, cela joue de manière irresponsable sur la confiance des maîtres d’ouvrage vis-à-vis du professionnel et de son savoir-faire. C’est ce que je veux dire par Pippi Langstrumpf (j’aurais aussi pu dire Lucilectric). Gentil mais bâclé. Je ne ferais pas appel en tant que profane à quelqu’un qui, selon moi, a « appris » cela et qui peut donc le faire « assurément mieux » que moi-même. Le titre professionnel d’architecte est aux yeux des clients un label de qualité – les clients végans veulent pouvoir faire confiance que la salade ne contient pas de dés de jambon. Malheureusement, certaines personnes qui planifient ne répondent pas à cela. Si vous, personnellement, n’êtes pas déçus, je le souhaite à toutes les parties concernées. Mais sur ma liste de recommandations, cela se traduit par une restriction.

Les 1,50 m correspondent à notre table à manger actuelle, que nous déployons lors des visites.

Cependant, une nouvelle construction de ces dimensions devrait pouvoir accueillir une table à manger de 2x1 m, même si on utilise une autre. Si ce qui est actuel suffisait généralement, il ne faudrait pas construire.

Cela me dérange beaucoup plus du côté nord que du sud, mais on ne peut malheureusement pas l’éviter par la discussion.

Ce qui me dérange vraiment, je ne le construirais pas non plus.

Dans la baie vitrée, il est prévu une banquette et non un canapé. Pas pratique ?

Une banquette est dans la plupart des cas une tendance actuelle, souvent coûteuse. S’y asseoir est généralement inconfortable. Les tendances sont éphémères et paraissent rapidement démodées dans une maison.

Pourtant, une nouvelle construction de ces dimensions devrait pouvoir supporter une table à manger de 2x1m, même si on en utilise une autre. Si l'actuelle suffisait en général, on ne construirait pas.

La surface n'est pas petite. Un peu plus de table à manger devrait en fait pouvoir y rentrer ?

Ce qui me dérange vraiment, je ne le construirais pas non plus.

Nous ne le ferons pas non plus dans la forme actuelle.

Une fenêtre-banc est dans la plupart des cas une tendance actuelle, souvent coûteuse en plus. S'asseoir là est généralement inconfortable. Les tendances sont éphémères et semblent vite dépassées dans une maison.

Que ce soit une tendance ou démodé n'est pas un critère de décision pour nous. En combinaison avec une bibliothèque, je trouve cela déjà attrayant esthétiquement. L'idée était aussi d'alléger un peu le long couloir du salon.