Wow, ici ça bouge ! Merci beaucoup pour les nombreux messages, je vais essayer de faire un peu de tri (puisque certains points ont maintenant été mis en avant, qui ne sont pas forcément liés à la question principale, mais qui constituent bien sûr quand même un retour précieux pour moi dans le cadre du "projet construction de maison")...
Le risque tend vers zéro, puisqu'il n'y a en fait aucun engagement avec l'entreprise de construction. Fais inscrire dans le contrat d’achat que le terrain est vendu sans engagement et c’est tout.
Ok, je vais en tout cas essayer de faire attention à cela.
Un précontrat avant la planification, ça sent bon.
Un précontrat avant le contrat d’achat du terrain, ça sent mauvais.
Peut-être que le terme "précontrat" est utilisé différemment de ce que j’avais en tête. Je n’ai pas encore de contrat concret, cela a juste été "annoncé" oralement. Selon ma compréhension, et je l’accepterais généralement ainsi, il s’agit simplement que l’entreprise de maison préfabriquée/l’architecte veuille se protéger au cas où nous déciderions finalement de construire avec une autre entreprise. Il était question ici d’une indemnité maximale de 3 à 4000€. Je considérerais cela comme légitime, à condition que nous ayons alors droit à la prestation de planification, c’est-à-dire que nous n’aurions pas à repartir de zéro avec la planification si nous choisissons une autre entreprise de construction.
En aucun cas je ne voudrais signer un contrat qui m’engage de manière générale à construire avec cette entreprise (par exemple si, au final, le terrain ne convenait pas). C’est ce que je voulais dire par
Nous ne signerons bien sûr un contrat de construction qu’après l’achat du terrain,
Le vendeur devrait bien sûr diviser le terrain lui-même avant de le vendre (quand il le marquera officiellement est une autre question). La solution GbR est, à mon avis, une complication inutile du point de vue de la gestion.
D’après ce que je comprends, le vendeur veut pour des raisons fiscales diviser le terrain seulement après la vente. Si je me souviens bien, l’argument était que cela passerait comme une vente privée, sinon ce serait considéré comme une transaction commerciale ?
Je ne vois donc pas, comme précédemment décrit, la crainte d’une transaction liée, mais un petit signal d’alarme face à la procédure, et il te faudra encore démystifier cela. Qui est naïf se fait avoir.
Suis-je effectivement naïf ici ? Du moins, on nous a toujours vendu le fait que l’achat via la GbR était une pure formalité et ne nous portait pas préjudice…
Je ne voudrais pas non plus compromettre ma solvabilité en formant une société de personnes commune avec mes futurs voisins (même si c’étaient tous mes camarades de classe et compagnons de confirmation et qu’ils sont encore avec moi à la brigade de pompiers, non). Les pactes diaboliques que certains sont prêts à conclure dès qu’on espère acquérir un terrain à bâtir ont parfois des formes assez douteuses. Le désir de construire fait perdre la raison. Au fait, je ne voudrais pas non plus me voir attribuer la parcelle longue à l’arrière-gauche comme valeur de liquidation d’une société foncière, si je préfèrerais le terrain transversal à l’avant-droit.
Pourrais-tu expliquer un peu plus précisément le point concernant la solvabilité ? Jusqu’à présent, je comprenais que la GbR existait essentiellement pour la vente elle-même, que dans le contrat GbR il est précisément consigné qui reçoit quel terrain à quel prix, et qu’après la répartition la GbR
Il existe aussi la possibilité d’un aménagement privé, souvent choisi par des promoteurs immobiliers qui reçoivent un grand terrain. Cela signifie que le promoteur construit une route qui dessert les différents terrains et fait de ses clients des propriétaires de cette route d’accès. Ceux-ci sont alors responsables de tout ce qui relève normalement de la compétence de la commune, par exemple le déneigement, les obligations de sécurité routière, l’entretien.
Il est effectivement prévu qu’une impasse soit construite en privé, les coûts et les "parts de propriété" de cette rue seront répartis entre les acheteurs. Concernant le déneigement, etc., je me suis déjà demandé ; je vais certainement demander à nouveau comment cela est envisagé.
Est-ce que l’aménagement par une voie privée est vraiment un tabou ?
Merci !