Altai
28.07.2020 09:56:06
- #1
D'après ma propre expérience, je déconseillerais plutôt le truc Riester.
Il y a 15 ans, j'avais conclu un contrat. À l'époque, il n'y avait que la retraite normale. Un éternel casse-tête quand les conditions changent, devoir déclarer le salaire chaque année, puis l'assurance a lamentablement oublié de déclarer correctement mes enfants à la ZfA - donc pas de supplément enfant, mais chez moi la cotisation a été réduite du supplément enfant, ce qui fait que j'ai payé trop peu, et ma prime a également été réduite. Et la prime ou les avantages fiscaux sont la seule chose qui rende ce montage digne d'intérêt.
En tout cas, j'ai maintenant retiré le capital pour la construction de la maison. C'est d'abord un paperasse, il faut des mois pour obtenir l'argent. Et maintenant, la ZfA m'a demandé de soumettre les documents pour prouver l'utilisation conforme (ce qui est ok, mais encore de la paperasse...). En tout cas, il s'est avéré que le paiement selon la ZfA est presque deux fois plus élevé (!!!) que ce que mon fournisseur m'a effectivement versé. Je suis en train de chercher d'où vient cette différence. Gare si le fournisseur a empoché cette presque moitié... (Les commissions et la gestion doivent être payées !) Cela rendrait toute l’intention absurde, à mes yeux... j'aurais été bien mieux de simplement mettre la cotisation chaque année sur un compte.
Et enfin : je dois désormais "à jamais" rester vivre dans la maison, car l'aide n'est accordée que pour les biens immobiliers occupés par soi-même, ou alors je dois rembourser les primes. (Alternative : acheter un nouveau bien immobilier à habiter) Et nul ne peut encore estimer aujourd'hui combien d'impôts je devrai payer à la fin sur le compte d’aide au logement.
Mon bilan : beaucoup d’efforts, très peu d’utilité, beaucoup de paperasse, des contraintes durables.
Et en général, je me ferais aussi proposer un prêt amortissable classique. À chaque euro remboursé, on économise des intérêts – alors qu’un contrat d’épargne-logement avec un taux d’intérêt pratiquement nul (j’en ai un à 0,01% depuis 2018) fait qu’on paie d’un côté des intérêts sur la dette, et qu’on garde de l’autre côté un capital qui ne rapporte rien. Il faut vraiment calculer à la loupe si ça vaut le coup.
Si la compagne gagne aussi, le crédit et les revenus sont en relation raisonnable, je trouve.
Il y a 15 ans, j'avais conclu un contrat. À l'époque, il n'y avait que la retraite normale. Un éternel casse-tête quand les conditions changent, devoir déclarer le salaire chaque année, puis l'assurance a lamentablement oublié de déclarer correctement mes enfants à la ZfA - donc pas de supplément enfant, mais chez moi la cotisation a été réduite du supplément enfant, ce qui fait que j'ai payé trop peu, et ma prime a également été réduite. Et la prime ou les avantages fiscaux sont la seule chose qui rende ce montage digne d'intérêt.
En tout cas, j'ai maintenant retiré le capital pour la construction de la maison. C'est d'abord un paperasse, il faut des mois pour obtenir l'argent. Et maintenant, la ZfA m'a demandé de soumettre les documents pour prouver l'utilisation conforme (ce qui est ok, mais encore de la paperasse...). En tout cas, il s'est avéré que le paiement selon la ZfA est presque deux fois plus élevé (!!!) que ce que mon fournisseur m'a effectivement versé. Je suis en train de chercher d'où vient cette différence. Gare si le fournisseur a empoché cette presque moitié... (Les commissions et la gestion doivent être payées !) Cela rendrait toute l’intention absurde, à mes yeux... j'aurais été bien mieux de simplement mettre la cotisation chaque année sur un compte.
Et enfin : je dois désormais "à jamais" rester vivre dans la maison, car l'aide n'est accordée que pour les biens immobiliers occupés par soi-même, ou alors je dois rembourser les primes. (Alternative : acheter un nouveau bien immobilier à habiter) Et nul ne peut encore estimer aujourd'hui combien d'impôts je devrai payer à la fin sur le compte d’aide au logement.
Mon bilan : beaucoup d’efforts, très peu d’utilité, beaucoup de paperasse, des contraintes durables.
Et en général, je me ferais aussi proposer un prêt amortissable classique. À chaque euro remboursé, on économise des intérêts – alors qu’un contrat d’épargne-logement avec un taux d’intérêt pratiquement nul (j’en ai un à 0,01% depuis 2018) fait qu’on paie d’un côté des intérêts sur la dette, et qu’on garde de l’autre côté un capital qui ne rapporte rien. Il faut vraiment calculer à la loupe si ça vaut le coup.
Si la compagne gagne aussi, le crédit et les revenus sont en relation raisonnable, je trouve.