K a t j a
07.10.2022 13:10:15
- #1
Une réception partielle - même fictive - n’est pas associée à cela, par conséquent, l’idée selon laquelle on serait désormais explicitement quitte en ce qui concerne les exécutions partielles désignées là-bas est erronée.
La réception des lots ou de l'ensemble de la commande n'a absolument aucune importance pour la survenance de coûts supplémentaires et, à mon avis, aucune influence sur la mise en œuvre de coûts plus élevés. La question est plutôt de savoir si un dépassement du délai du prix forfaitaire peut automatiquement conduire à une révision arbitraire du prix ? J'en doute fortement. Que se passerait-il si le maître d'œuvre principal réclamait maintenant un supplément d'un million ? Il devrait de toute façon le prouver en cas de doute, et c'est là que, à mon avis, se trouve le nœud du problème.
On doit pouvoir supposer que le prix était rentable pour le maître d'œuvre principal jusqu'au jour X. À partir du jour X, ce n'est plus le cas. En conséquence, il doit décomposer les coûts. Je ne peux pas imaginer qu’un juge puisse décider autrement ici.