GU demande une augmentation de prix sur l'ensemble de la maison

  • Erstellt am 06.10.2022 15:33:59

Bardamu

09.10.2022 12:44:30
  • #1


Eh bien, s’il doit avancer les fonds avec sa trésorerie, il va certainement les récupérer auprès du client final après la fin des travaux. C’est bien de cela qu’il s’agit ici. Alors, je n’ai pas besoin d’un prix fixe, il peut présenter la facture à la fin et, s’il le faut, il peut poursuivre le client en justice si celui-ci refuse de payer pour presque deux maisons ;-) il suffit de retourner la situation.
 

kati1337

09.10.2022 12:47:12
  • #2

Si seulement.
Le TE a déjà reconnu qu’il avait agi naïvement lors de la signature du contrat.
Je disais simplement : du point de vue de la situation dans laquelle il se trouve aujourd’hui, un accord à l’amiable et le prix de l’expérience après accord sont probablement la meilleure chose qu’il puisse obtenir. Et parfois, on peut aussi simplement être satisfait d’un statu quo. Laisser un peu de côté l’allemand, faire taire l’« alman », et simplement accepter quand ça va parce que ça aurait pu être pire. ;)

Car quelle serait actuellement son alternative ? Nous avons déjà largement discuté en amont qu’il est sur un terrain juridique dangereux, et que la glace mince devant la justice est dangereuse, coûteuse, et ainsi de suite.
 

11ant

09.10.2022 13:02:18
  • #3

Au moins une option assez raisonnable, oui.

*ROTFL* je ne peux même pas compter combien de fois j’ai vu dans la vie professionnelle un Musulman laisser sortir l’Alman quand ce point de vue lui était plus avantageux :)

Il s’est en grande partie coupé les alternatives au préalable. Je n’ai pas écrit mon dernier message pour rien, aussi pour les lecteurs qui en sont encore au stade « avant la chaîne du vélo » et qui peuvent éviter de reproduire cette erreur. La glace fine du maître d’ouvrage se trouve à l’endroit où la construction inachevée peut encore subir des dommages (dus aux intempéries). Devant le tribunal, c’est plutôt la glace de l’entrepreneur général qui est fine, souhaitant présenter une demande sans calcul compréhensible.
 

kati1337

09.10.2022 13:42:51
  • #4

Je suis sûr que le maître d’œuvre trouverait quelque chose à dire devant le tribunal en cas de besoin. Ce n’est pas parce qu’il n’a pas envie de révéler sa calcul sans pression que cela signifie qu’il n’a rien en main – ou qu’il n’a aucune idée avec son avocat.
Il y a aussi le vieux dicton « devant le tribunal et en haute mer... », sur le fait d’avoir raison et d’obtenir raison, même si nous admettions que le maître d’ouvrage ait entièrement raison.
 

xMisterDx

09.10.2022 15:30:47
  • #5
Je trouve aussi dangereux de supposer que le maître d'œuvre a simplement tiré le prix de son chapeau. D’autant plus que nous ne savons même pas quel maître d'œuvre il s’agit.
Je suppose qu’avec un prix de 275 000 EUR avant ajustement du prix, c’est quelque chose comme Town & Country ou similaire.

Les prix viennent d’en haut et ont tout à fait une base. Je ne considère en aucun cas comme acquis qu’on gagnerait un procès ici.

Et d’une certaine façon, cette vision selon laquelle l’entrepreneur pourrait bien renoncer à quelques euros de bénéfice m’énerve aussi… c’est une vision déconnectée de la réalité, je veux mon salaire mensuellement, en totalité, et ne pas devoir renoncer à une partie parce que le client ne veut pas payer le prix plein.
 

11ant

09.10.2022 20:14:10
  • #6

Il ne peut pas le choisir. Personne d'autre que lui ne demande ici l'ajustement des prix (selon l'article 313 du Code de la construction ou sur quelle autre base devrait-il se fonder ?), donc la charge de la preuve des coûts augmentés lui incombe également. S’il ne veut pas dévoiler ses cartes, il ne lui reste qu’à retirer sa demande d’augmentation du prix (ou à choisir l’option de la résiliation du contrat de construction – mais pour cela aussi, il doit prouver la perturbation de la base contractuelle et ne pas se contenter de l’affirmer). Le risque du maître d’ouvrage réside donc dans le fait que l’entrepreneur principal opte pour la résiliation – mais dans ce cas, je considère que le maître d’ouvrage ne rencontrera aucun problème, car, si je me souviens bien, il n’a pas encore présenté la différence entre la valeur réelle de l’état d’avancement des travaux atteint et sa représentation approximative par sa traduction forfaitaire dans le plan de paiement comme étant significative et serait prêt à se débrouiller lui-même à l’avenir. Son risque serait donc nul dès que l’entrepreneur principal déclare choisir l’option de la résiliation. On peut alors fixer un délai à l’entrepreneur principal et, à l’expiration infructueuse de celui-ci, envisager la résiliation de sa part selon l’article 648 du Code de la construction. Je ne vois rien dans cette affaire qui dépende de l’ingéniosité d’un avocat ou de l’humeur du juge. Le Code de la construction contient à ce sujet des articles agréablement courts ;-)

Le client paie bien le prix plein, simplement pas un prix encore plus élevé. Et l’entrepreneur a le libre choix de jouer la carte "augmentation prouvée" ou la carte "résiliation" de l’article 313 du Code de la construction, s’il ne veut pas utiliser sa marge pour un risque de hausse des prix supérieur aux attentes.

Les deux parties au contrat ont commis des erreurs, mais les deux peuvent aussi s’entendre ou se séparer. Un contrat de construction n’est pas conclu devant Dieu, l’homme peut y mettre fin :)
 

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