kbt09
26.02.2023 18:30:59
- #1
Merci ... je suis d’accord aussi :)
• hauteur maximale autorisée à l’égout = 7 m
• hauteur maximale autorisée du faîte = 12 m
... autant que j’ai pu en lire.
Cela devrait suffire confortablement pour 2 étages.
Tu peux construire autant que tu peux payer :
Les formes de toit autorisées sont les toits à pignon, à croupe, à croupe réduite et en pyramide avec une pente de toit de 20° à 45°.
Un mur de grange de 1,80 m est actuellement populaire car il paraît assez agréable. Mais vous êtes-vous consciemment décidés pour cela ? Selon votre plan d’urbanisme, vous pourriez aussi construire au deuxième étage sans pentes et de là un toit à pignon à la hauteur de votre choix (faîtage jusqu’à 12 m !).
Désolé, on nous a donné le nom d’un architecte ici à Stuttgart. Bien sûr, je suppose qu’il s’occupera du plan d’aménagement. On peut quand même supposer ça en tant que profane, non ?
Je suis vraiment désolé, mais je ne comprends pas la moitié de cela. Que signifie tout cela concrètement ? [...] et oui, c’est la première maison que nous construisons. J’ai compris que le terrain est nul. Mais je ne comprends malheureusement pas les autres choses mentionnées ci-dessus. Peux-tu expliquer cela autrement ?
Je me demande si cela fixe en même temps la forme du bâtiment principal ? Que se passe-t-il si je souhaite construire une maison à 3 pignons ou une maison à pignons décalés ? Le troisième pignon sera-t-il alors interprété comme un retrait ?
@K a t j a, @11ant … vous vous êtes maintenant penchés sur le plan d’aménagement. Je suis nul à ce sujet. Peut-on maintenant planifier avec 2 étages pleins ? Ou faut-il une astuce comme un mur pignon à plus de 180 cm ou autre chose ? Merci :)
Un architect à 130 km du chantier n’est probablement pas une bonne idée. Bien sûr, les profanes peuvent supposer qu’un architecte a réussi ses études, sinon il n’obtiendrait pas non plus d’« autorisation de caisse » ;-) de sa chambre professionnelle. Que signifie ici « être nommé » ?
Ce n’est pas le terrain qui est idiot, on peut tout à fait en faire quelque chose. Sont idiots : 1. la commune, 2. l’architecte, et 3. le fait que tu sois venu si tard avec l’extrait du plan d’occupation des sols. 1. la commune dépasse, à mon avis, sensiblement ses compétences lorsqu’elle te refuse l’adaptation du plan d’occupation, c’est dans ce cas précis inapproprié. À ta place, je les forcerais devant le tribunal administratif. 2. L’architecte aurait aussi dû te le dire depuis longtemps, au lieu de faire semblant d’être ignorant comme tu l’es (et tu peux l’être, lui ne le doit pas). 3. pour simplifier fortement, tu peux partir du principe que chaque détail dans ton extrait du plan d’occupation que tu ne comprends pas ou que tu ne remarques même pas contient une information d’une force explosive considérable. À commencer par le fait que ton terrain est entouré d’une ligne en points – ce sont les gros points noirs. Cela signifie que pour ton terrain – et dans l’extrait présenté UNIQUEMENT pour ton terrain – des règles différentes s’appliquent que pour tous tes voisins. MI désigne le type de zone « zone mixte », alors que ton terrain et celui du voisin sont traités différemment au niveau réglementaire. WA est une zone résidentielle générale, et ici aussi, cela ne s’applique pas de la même manière à deux terrains situés directement derrière le tien qu’à ceux qui sont plus loin. La limite arrière de construction (en bleu) de ton terrain interdit une construction dans la zone où tu rêves ta piscine. Juste « à gauche » de cela, ton voisin peut néanmoins construire un garage contre la clôture. Il semble qu’à l’administration du bâtiment quelqu’un ait pris quelques cookies au cannabis, mais dans un État de droit, on peut même remettre une administration du bâtiment dans le cadre de l’ordre constitutionnel démocratique libéral. Que manque ici, je l’ai déjà regretté plusieurs fois. J’aimerais bien l’appeler ici – mais il y a des raisons pour lesquelles il s’abstient de succomber à la tentation de se connecter ici (et les raisons de ces raisons se trouvent ailleurs ...). Nous devons donc malheureusement nous passer de lui ici – mais je pense bien que l’administration du bâtiment va trop loin, jusqu’à là je peux me mouiller aussi. En outre, je vois dans l’extrait du plan des indices pour un commencement de soupçon que tu devrais aussi étudier soigneusement ta feuille cadastrale et/ou le registre des charges foncières – bien sûr avec quelqu’un qui non seulement doit pouvoir le faire, mais peut et fait cela. Tout cela fait qu’il n’a actuellement aucun sens de se pencher analytiquement sur les plans architecturaux présentés. Et, du moins pour moi, l’appétit est passé après cette bombe, mais Katja et Kerstin ont de toute façon un meilleur feeling pour les propositions alternatives de plans. Tu devrais en tout cas te séparer de cet architecte – que ce soit son incompétence ou sa mauvaise volonté qui prédomine, c’est ton avocat qui devra le déterminer au besoin – ce que nous, ici et maintenant, ne pouvons pas faire.
Question 1 : non ; question 2 : je ne vois exclu ni un troisième pignon ni un Zwerchhaus ; question 3 : manque beaucoup.
Je ne me suis pas encore penché de plus près sur le plan d’occupation (et cela dépasserait également la portée pro bono ici dans la profondeur nécessaire). Sur des questions fondamentales comme le nombre d’étages, je peux regarder avec plaisir si je trouve le plan et le temps. Mais comme je l’ai dit, je pense que le plan viole fondamentalement des principes et doit être annulé. En ce sens, je vois que l’OP peut planifier dans le cadre des conditions d’une zone §34 dès que le plan est remis en cause avec succès par une suspension provisoire. Une administration communale ne peut pas simplement déduire de son impuissance la permission de violer le principe de proportionnalité – il faut intervenir juridiquement contre cela.