Dans notre cas, il ne calcule pas d'avant-projet, car c'est moi qui l'ai fourni. Mais il réalise effectivement les phases de prestations 1 à 2, autant que je sache. La planification d'exécution est définitivement faite par le maître d'œuvre général (GU).
L'architecte a planifié la maison jusqu'à la phase de prestation 4, y compris le permis de construire. Avec les plans approuvés, j'ai ensuite demandé des offres à des maîtres d'œuvre généraux régionaux.
La planification d'exécution d’un GU ne remplace pas davantage la planification détaillée de l’architecte qu’un « chef de chantier » ne remplace un chef de chantier (voir : « Von Bauleitern und ... Bauleitern »). Après les plans d’autorisation
on ne peut pas encore construire, mais on
a le droit. Cette différence « subtile » ;-) est la plus évidente sous la forme des postiches de doublage à ossature sèche, les stigmates d'économies faites au mauvais endroit.
Le concept se vend comme une construction clé en main planifiée par un architecte. Il a encore quelques gadgets, comme il écrit, réservés uniquement aux GU qui n'ont pas causé de problèmes dans le passé, qui sont liquides, etc.
Je vois l’avantage qu’on ait, espérons-le, un projet raisonnable, mais aussi qu’on construise avec un prix fixe.
Le concept est du moins adapté au marché dans la mesure où il peut compter sur beaucoup d’approbation de la part du « consommateur maître d’ouvrage ». C’est bien s’il lance un appel d’offres ciblé à des soumissionnaires éprouvés – moins judicieux, en revanche, s’il le fait uniquement à des GU. Le concept ressemble à celui d’un architecte-GU, juste sans que l’architecte fasse lui-même office de GU. À mon avis, ce n’est pas la voie royale, mais une alternative assez digne d’être envisagée. Je suis – incité notamment par – en train d’intégrer cette approche dans ma pratique de conseil.
Et ce catalogue de prestations est conçu de telle manière qu’on pourrait s’adresser à n’importe quel GU. Est-ce toujours ainsi dans la phase de passation des marchés ?
Avec un cahier des charges des prestations, on devrait généralement pouvoir s’adresser non seulement à des GU, mais à tous ceux-ci en tout cas.
Les offres n’étaient certes pas encore comparables 1:1, mais néanmoins assez transparentes pour poursuivre les négociations. Les GU hésitent naturellement à déroger à leur cahier des charges standard car cela est difficile à chiffrer ou entraîne des coûts supplémentaires.
La transparence « naît » ici principalement grâce à son propre cahier des charges, en ce sens « plans d’autorisation plus cahier des charges » est au moins beaucoup plus pertinent que sans. Pour le thème de base déviation du cahier des charges, voir (aussi) ici avec le mot-clef « 11ant Steinemantra ».
Cela me donne du courage. Je suis par curiosité tombé sur un fil avec 11ant et GerdDieter où j’ai immédiatement douté de notre chemin. Jusqu’à présent, nous n’avons toutefois rien signé chez notre architecte. Tout est de la prospection jusqu’ici, mais c’est tellement difficile de choisir une voie.
Quel fil était-ce donc (on peut tout à fait faire des liens internes ici) ?
Je pense que tu devrais suivre le chemin prévu sans douter, avec une petite différence : que l’architecte ne limite pas l’appel d’offres aux GU. Dans la mesure où tu ne peux pas encore utiliser les messages privés, tu trouveras ici avec le mot-clé « 11ant gmx » la manière de m’en envoyer un de l’extérieur. Le nom de l’architecte m’intéresserait.