JackyBauer
12.06.2018 11:55:44
- #1
Bonjour à tous,
nous figurons sur la liste des intéressés d’une petite commune frontalière en Allemagne. Par le passé, elle a vendu des terrains aux habitants locaux à 105 €/m² et aux personnes extérieures à 120 €/m², selon le modèle des natifs. Ils ont désormais admis que cela n’était plus légal.
J’ai maintenant reçu une indication selon laquelle nous sommes en 100e position sur environ 25 terrains, même si nous sommes sur la liste depuis 2 ans.
Explication :
La commune utilise un système de points où le fait de résider dans la commune améliore la position. De plus, des points sont attribués si l’on travaille sur place. C’est ainsi que la plupart des candidats nous sont passés devant, malgré la présence d’un enfant. Ce qui est mal vu chez nous – mais c’est dû à notre propre bêtise – est que nous avons possédé un bien immobilier à l’étranger, donc nous ne sommes pas des « premiers propriétaires », ce qui ne concerne en fait que ma compagne. Nous n’aurions peut-être pas dû le mentionner, eh bien, dans ce cas le plus honnête est le plus bête !
À ma connaissance, le lien avec le lieu et le poste sur place ne sont pas des critères sociaux. Ce n’est pas le salaire qui est pris en compte, mais un lien qui, selon moi, est contraire à la libre circulation dans l’UE.
Une assurance protection juridique est en place, mais je ne sais pas comment me défendre contre cela. Si nous étions acceptés, les meilleurs terrains pour lesquels nous avons économisé seraient probablement déjà partis, s’il en reste au moins un. Quel dommage aurions-nous subi que je pourrais faire valoir ?
C’est tout simplement injuste. Nous voulons précisément cette commune parce que notre enfant doit grandir bilingue et que cette commune frontalière enseigne les deux langues à l’école primaire. Nous venons donc de la région frontalière, mais sommes maintenant désavantagés parce que nous n’avons jamais habité dans la commune ni travaillé là-bas. C’est à devenir fou...
Je vous remercie pour vos avis et conseils !
nous figurons sur la liste des intéressés d’une petite commune frontalière en Allemagne. Par le passé, elle a vendu des terrains aux habitants locaux à 105 €/m² et aux personnes extérieures à 120 €/m², selon le modèle des natifs. Ils ont désormais admis que cela n’était plus légal.
J’ai maintenant reçu une indication selon laquelle nous sommes en 100e position sur environ 25 terrains, même si nous sommes sur la liste depuis 2 ans.
Explication :
La commune utilise un système de points où le fait de résider dans la commune améliore la position. De plus, des points sont attribués si l’on travaille sur place. C’est ainsi que la plupart des candidats nous sont passés devant, malgré la présence d’un enfant. Ce qui est mal vu chez nous – mais c’est dû à notre propre bêtise – est que nous avons possédé un bien immobilier à l’étranger, donc nous ne sommes pas des « premiers propriétaires », ce qui ne concerne en fait que ma compagne. Nous n’aurions peut-être pas dû le mentionner, eh bien, dans ce cas le plus honnête est le plus bête !
À ma connaissance, le lien avec le lieu et le poste sur place ne sont pas des critères sociaux. Ce n’est pas le salaire qui est pris en compte, mais un lien qui, selon moi, est contraire à la libre circulation dans l’UE.
Une assurance protection juridique est en place, mais je ne sais pas comment me défendre contre cela. Si nous étions acceptés, les meilleurs terrains pour lesquels nous avons économisé seraient probablement déjà partis, s’il en reste au moins un. Quel dommage aurions-nous subi que je pourrais faire valoir ?
C’est tout simplement injuste. Nous voulons précisément cette commune parce que notre enfant doit grandir bilingue et que cette commune frontalière enseigne les deux langues à l’école primaire. Nous venons donc de la région frontalière, mais sommes maintenant désavantagés parce que nous n’avons jamais habité dans la commune ni travaillé là-bas. C’est à devenir fou...
Je vous remercie pour vos avis et conseils !