Vos souhaits pour un plan d'aménagement

Je suis d'accord : le moins de restrictions possible. Bien sûr, il y a les distances limites à respecter. Mais à part ça ? Directive sur ce qui peut être construit (maison individuelle, maison multifamiliale, maison en rangée...), hauteur maximale et c’est bon. L’un fait un toit en croupe, l’autre un toit plat. Je n’aime pas trop les maisons roses non plus, mais dans un village voisin, quelqu’un a transformé sa maison en une dévotion des années 60 (donc avec un blason des années 60 et en bleu des années 60) - là, je peux presque m’habituer au rose.

Tout ne me plaira pas, mais c’est mieux que tout uniforme.

Réfléchissez-y : les petits villages que nous trouvons aujourd’hui pittoresques n’ont certes pas été construits selon un schéma imposé, mais ont évolué au fil des siècles de manière différente. Et c’est ça qui fait leur charme !

Dans 200 ans, si quelqu’un voyage à travers l’Allemagne, il trouvera toujours Rottenburg ob der Tauber magnifique, mais toutes les colonies créées sur plan seront sans doute moins appréciées.

S’il vous plaît, plus d’individualité ! Aussi dans la planification. Pas une division en cases pour les parcelles, mais un mélange : grandes et petites parcelles, pour gros et petits budgets. Peut-être planifier directement un centre, une place de village ou de lotissement, avec une fontaine dans laquelle les enfants peuvent barboter en été et où l’on se réunit pour bavarder, des espaces verts, pas tout bétonner.

Peut-être que chaque maison avec jardin/zone verte devrait faire forer son propre puits, si le sous-sol le permet, afin que l'eau potable précieuse ne soit pas utilisée pour l'arrosage des jardins et des pelouses.

Et maintenant, peut-être que c'est irréaliste : en fonction de la taille en m² du terrain, un certain nombre a.) d'arbres fruitiers de vieille variété et b.) d'arbustes/plantes/fleurs de vieille variété. Afin qu'ils ne tombent pas complètement dans l'oubli. À mon avis, cela est raisonnable à petite échelle et qui sait, peut-être que certaines personnes apprendront à apprécier les anciennes variétés. Elles seraient ainsi préservées, même si elles ne sont pas commercialement utilisables, et je peux imaginer qu'une sorte de compétition pourrait en découler.

Eh bien, je sais que je me mets en ligne de mire : les pompes à chaleur doivent être installées sur le terrain de manière à ne déranger que l'installateur, mais pas les voisins. (Je sais, c'est déjà partiellement respecté, mais il y a encore trop de voisins dérangés.)

Peut-être que cela irait aussi à l'encontre de la formation de ghettos (des deux côtés ;-) ) si on mélangeait des maisons individuelles avec des immeubles collectifs. En ce moment, nous habitons dans une zone mixte et je vais certainement regretter cela quand nous aurons emménagé dans notre nouvelle maison dans la "zone de maisons individuelles".

Dans les quartiers neufs, une zone 30 complète. Nous en avons une actuellement et c'est vraiment super.

Sinon, je me joins à de nombreuses propositions faites par mes prédécesseurs.

Je préférerais surtout insister sur un remblayage uniforme ... ils ne l'ont pas fait chez nous, maintenant le voisin est à 2m sous nous avec sa dalle de sol ... bon ... bon courage quand il pleut )-:

Ce qui a le plus énervé
c’est quand les indications étaient : x par rapport au terrain naturel ...
Qui est censé vérifier après où ça se trouvait ?

Que souhaiteriez-vous ? - que doit contenir le texte, - qu’est-ce qui ne doit absolument pas y figurer, - que devrait-on définir précisément, - où devrait-il y avoir plus de libertés ?

Je souhaiterais tout d’abord que la densité des règlements soit modérée – personne n’a besoin d’une surabondance de règles (par exemple, un catalogue de plantes pour le devant des maisons). Ensuite, je voudrais que l’on évalue les derniers plans d’urbanisme de la commune et de ses communes voisines : les conseils municipaux ont trop peur et tentent de formuler hermétiquement tous les espaces de manœuvre « abusés » récemment, au point qu’au final chacun ne peut plus que reconstruire la maison du maire Nikolaus. Mais presque aucune commune ne vérifie quelles règles des nouveaux plans précédents étaient inefficaces ou même ont eu l’effet contraire à celui souhaité. Troisièmement, je souhaiterais éliminer les doublons inutiles dans les règles : une prescription sur la hauteur des gouttières détermine suffisamment quelle « hauteur de la hanche » une maison peut avoir. La redoubler avec une restriction sur la hauteur du mur de pignon court est absurde, car cette restriction indique seulement où (à l’intérieur de la masse du bâtiment, donc sans importance extérieure) se situe le plafond de l’étage sous la hauteur de la gouttière. Quatrièmement, j’aimerais que les prescriptions sur le toit, dans leur combinaison (gouttière, faîtage, pente, hauteur du mur de pignon court), ne conduisent pas effectivement à empêcher les toits en mansarde. Et je pourrais imaginer qu’un « balanced scorecard » serait bénéfique : si je n’exploite pas toute la longueur totale des lucarnes, mon garage pourrait avoir une plus grande hauteur de mur, par exemple. Car la culture des plans d’urbanisme, telle qu’elle s’est développée ces trente dernières années, a conduit à une contradiction que personne n’a dû vouloir sérieusement : d’une part une réduction de la diversité variétale (comme avec les seules quatre sortes et demie de pommes restantes au supermarché), d’autre part malheureusement un large échec pour contenir le phénomène des McMansion Hells.

Il est très difficile de trouver un équilibre entre la liberté personnelle et les règles, car il y a toujours quelqu'un qui profite de la liberté au détriment des autres.

Je trouve bien que tu veuilles t'y intéresser.
Mais ce n'est pas facile de regarder au-delà de son propre horizon - mais comme on dit, c'est en forgeant qu'on devient forgeron ;)

En tout cas, pas de règles aussi absurdes que : « L'installation photovoltaïque ne peut avoir qu'une forme rectangulaire ou carrée. » Pour les toits en croupe ou en pavillon, c’est complètement nul....

Je ne limiterais pas les couleurs, car cela relève au maximum d'un mauvais goût mais ne concerne pas directement les autres. Je prohiberais les surfaces brillantes, car elles peuvent directement déranger les voisins.

En général, prévoir du personnel administratif qui soit au service des citoyens. Désolé, cela devait sortir, après qu’un de nos employés communaux s’est plaint pendant très longtemps aujourd’hui de ce que ma demande (OK, un peu spéciale) allait engendrer comme travail.