11ant
14.11.2020 16:51:11
- #1
Mais 2000 € pour un montant de construction de 500 000 € c’est vraiment ridicule. Là, j’aurais préféré choisir librement mon entreprise de construction.
Jusqu’à ce point, ces deux mille euros ne m’auraient pas valu, d’un autre côté, d’avoir simplement un autre entrepreneur sur la facture avec la même qualité. Ce n’est que plus loin que l’histoire devient un argument.
Dans ce cas, l’un aurait pu commencer seulement un an plus tard et cela aurait représenté pour nos amis plus de 15 000 € de loyer rien que ça.
Mais est-ce vraiment le cas dans trois cas de construction séparée sur quatre maisons jumelées qu’il y ait des différences de démarrage significatives ? – Au début du fil Goalkeeper, j’avais plutôt l’impression que cela avait à voir avec un comportement territorial (typique du jardin d’enfants masculin), plutôt que de considérer comme une « défaite » que des gens s’accordent avec leurs voisins sur des entrepreneurs communs. Et que, d’autre part, si ce n’est pas réglé au niveau de la clôture du jardin, mais que cela vient « d’en haut » (= consigne de la commune ou affiliation au promoteur), ce n’est pas un problème d’accepter pacifiquement de ne pas choisir un entrepreneur différent du voisin. Et, même avec le risque (ici certainement concrétisé) de me répéter : comme point central pour désamorcer la bombe maison jumelée ou mitoyenne, je considère l’architecte commun (et conducteur de travaux), la passation des marchés peut alors très bien se faire auprès de différents exécutants – même en mélangeant pierre/bois et avec/sans sous-sol ou clé en main/maison à finir soi-même. Par ailleurs, avec la même rigueur et compétence, les entrepreneurs généraux Meier, Müller et Schulze se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Désolé, mais c’est le « niveau travail », au sens industriel et économique, on parle en fait d’agents interchangeables. Cette façon de penser ne devrait pas être vraiment étrangère aux maîtres d’ouvrage d’aujourd’hui, qui décident largement avec Excel – mais cette archaïque idée que « à soixante ans on ne boit pas la même bière que les habitants d’Unterhaching » doit être tellement ancrée qu’il faut la cultiver. Je n’ai jamais eu en tête des « rabais quantitatifs », c’est une pensée naïve de profane, ça n’existe pas à la taille de lot « 2 », ou seulement de façon symbolique, ou pour des broutilles comme la demande de place pour la grue auprès du service d’urbanisme.