Pacmansh
28.03.2023 20:58:08
- #1
Attends une minute, tu es déjà deux pas trop loin.
Je partais du principe qu’une isolation phonique suffisante serait atteinte. À l’époque de l’achat, je ne savais pas à quel niveau elle devait être, ni si une maison devait être construite en simple ou en double couche. Un peu naïf de ma part, tu peux me le reprocher, mais bon. J’ai fait vérifier le contrat d’achat par un avocat spécialisé en droit de la construction et il n’avait rien à redire sur les formulations.
Mon expert en construction m’a ensuite alerté sur la problématique du mur en simple couche. Par la suite, nous avons, ou plutôt lui a, commandé un rapport d’expertise acoustique. Je n’attendais ni n’exigeais une valeur spécifique, je voulais simplement voir le calcul, car les planificateurs avaient fait plusieurs erreurs majeures, quoique encore corrigibles. Le résultat a été que l’entrepreneur (ceci n’est pas le promoteur immobilier mais un entrepreneur général mandaté par le promoteur, avec qui nous n’avons donc pas de relation contractuelle) nous a dit qu’il y avait eu des erreurs dans le calcul de l’isolation phonique et qu’il avait commandé une nouvelle expertise acoustique. Aujourd’hui, il m’a dit qu’ils s’étaient également assurés auprès d’un autre expert et qu’avec la contre-cloison, l’isolation phonique de 62 dB due est atteinte. Le fait qu’une isolation phonique de 62 dB soit due vient de l’entrepreneur qui exécute les plans du promoteur et non de moi. Je ne suppose donc pas non plus que l’on veuille se dérober derrière la position de la maison multifamiliale.
À part cela, j’ai acheté une maison auprès du promoteur. S’il veut y mettre une contre-cloison, c’est certes très embêtant pour moi, mais c’est naturellement son droit.
Ce qui me semble donc plutôt en question, c’est la valeur à atteindre et si elle est atteinte par les mesures. Je n’ai pas d’assurance protection juridique pour ce cas-là, donc si je veux le porter à un niveau supérieur, je devrais en être assez sûr.
Je partais du principe qu’une isolation phonique suffisante serait atteinte. À l’époque de l’achat, je ne savais pas à quel niveau elle devait être, ni si une maison devait être construite en simple ou en double couche. Un peu naïf de ma part, tu peux me le reprocher, mais bon. J’ai fait vérifier le contrat d’achat par un avocat spécialisé en droit de la construction et il n’avait rien à redire sur les formulations.
Mon expert en construction m’a ensuite alerté sur la problématique du mur en simple couche. Par la suite, nous avons, ou plutôt lui a, commandé un rapport d’expertise acoustique. Je n’attendais ni n’exigeais une valeur spécifique, je voulais simplement voir le calcul, car les planificateurs avaient fait plusieurs erreurs majeures, quoique encore corrigibles. Le résultat a été que l’entrepreneur (ceci n’est pas le promoteur immobilier mais un entrepreneur général mandaté par le promoteur, avec qui nous n’avons donc pas de relation contractuelle) nous a dit qu’il y avait eu des erreurs dans le calcul de l’isolation phonique et qu’il avait commandé une nouvelle expertise acoustique. Aujourd’hui, il m’a dit qu’ils s’étaient également assurés auprès d’un autre expert et qu’avec la contre-cloison, l’isolation phonique de 62 dB due est atteinte. Le fait qu’une isolation phonique de 62 dB soit due vient de l’entrepreneur qui exécute les plans du promoteur et non de moi. Je ne suppose donc pas non plus que l’on veuille se dérober derrière la position de la maison multifamiliale.
À part cela, j’ai acheté une maison auprès du promoteur. S’il veut y mettre une contre-cloison, c’est certes très embêtant pour moi, mais c’est naturellement son droit.
Ce qui me semble donc plutôt en question, c’est la valeur à atteindre et si elle est atteinte par les mesures. Je n’ai pas d’assurance protection juridique pour ce cas-là, donc si je veux le porter à un niveau supérieur, je devrais en être assez sûr.