Désir de propriété commune - actuellement séparés

  • Erstellt am 16.07.2020 10:07:10

BackSteinGotik

16.07.2020 19:58:58
  • #1


Eh bien, dans l’approche choisie ici (et qui est déjà établie), il s’agit de négocier et donc de positions – de deux personnes. Cela n’a absolument rien à voir avec l’équité. À ceux qui aiment faire ces comptes dans une relation, libre à eux.
Mais avoir encore peur du « rien » avec les revenus et le capital de la femme, c’est à mon avis un peu trop peu de confiance. Il y a en jeu un enfant commun (ce qui décide déjà le levier principal). L’enfant doit-il alors aussi payer un loyer ? Et le père verse-t-il une pension à la mère pour qu’elle puisse payer le loyer au propriétaire pour elle et son enfant ? Ou cela vient-il des allocations familiales ? Et quand on monétarise ici, ce qui n’est pas un problème pour les plus-values virtuelles des maisons : que paie le père pour la croissance d’un héritier en général, ou est-ce que c’est le libre-service ? Peut-être un prix de référence pour une mère porteuse d’Ukraine multiplié par un facteur X pour l’Allemagne ? Alors le calcul doit sans doute être complètement différent. Qui a supporté les pertes de revenus réalisées pendant le congé parental, et qui les chances de carrière réduites à l’avenir ?
Toutes des positions que l’on peut adopter ; selon son propre système de valeurs, c’est absurde ou tout à fait légitime...
 

pagoni2020

16.07.2020 20:12:50
  • #2

C’est ainsi, et chacun est libre, y compris le TE, de le faire sans que personne ne devrait lui imputer une motivation négative. Il existe d’innombrables exemples qui vivent cela de différentes manières, et je serais prudent à enfermer quelqu’un dans un coin simplement parce qu’il cherche pour lui-même et sa partenaire une solution qui leur semble cohérente à tous les deux, voire à tous. Je ne comprends pas vraiment pourquoi l’équité serait déplacée ici, je pensais que c’était une condition nécessaire à la coexistence.
Peut-être que certains ne posent tout simplement pas la question ou s’imposent simplement, ou que Madame/Monsieur ne conteste pas... c’est aussi possible. Ou bien tout le monde autour de nous est-il toujours éternellement heureux ? Je trouve tout à fait approprié de se poser ce genre de questions et je m’étonne de la composante si morale qui est souvent brandie, que l’on revendique bien sûr d’abord pour soi-même.
Ton exemple extrême peut bien sûr être poussé jusqu’à la perversion, je te crois volontiers, de même que je peux te donner des exemples où la perversion est survenue parce qu’on s’est laissé guider auparavant par la morale de façon rigide et on n’a tout simplement pas réglé les choses de manière objective.
Personne ne veut ici désavantager quelqu’un, mais si la femme insiste pour 200TE, pourquoi l’homme ne pourrait-il pas avoir une autre opinion sans devoir se sentir comme un père dépourvu de morale ? Je ne comprends pas cela... et la remarque concernant l’enfant va dans les deux sens, et je ne vois pas ce que l’on pourrait reprocher au père ici.
Je n’aime pas le jugement, simplement parce que quelqu’un le fait plus ou moins différemment – ou peut-être a dû le faire –.
 

Worrier84

16.07.2020 20:32:05
  • #3
Tant que personne ne se sent blessé dans la discussion, on peut tout aborder et échanger de manière transparente sur le plan financier. Pour ma part, je ne suis pas du tout partisan du « le tien est à moi et inversement » dans les aspects financiers fondamentaux. Cela ne veut pas dire que le partenaire dormira sous un pont s’il/elle n’a pas d’argent. Je n’ai pas envie que ma partenaire a) devienne financièrement stupide par manque de plan et b) soit consciemment dépendante financièrement de moi ou vice versa. Je trouve cela extrêmement peu attrayant.
 

Pinky0301

16.07.2020 20:45:50
  • #4
Nous avons même les deux : un compte commun pour les dépenses communes comme le loyer, etc., des comptes séparés pour le reste. On ne calcule pas au centime près, mais je ne trouve pas répréhensible de veiller à ce que les deux partenaires participent financièrement de manière équitable.
La situation du TE n'est pas simple et il ne me vient pas rapidement d'idée sur la façon dont je la résoudrais. Mon sentiment est que le TE se restreint financièrement pour payer/valoriser la maison, tandis que la femme ne contribue d'abord pas à cela. Cela donne un sentiment d’injustice quand elle se fait plaisir avec l’argent économisé du logement. Il profite peut-être de la plus-value, mais tant que la maison n’est pas vendue, il n’en retire rien.
Avec un enfant, tout cela devient encore plus compliqué, car généralement cela s’accompagne aussi d’une perte de revenu. L’homme devrait alors compenser cela à la femme ou les deux travaillent moins.
Il y a donc tellement d’aspects en jeu qu’il sera probablement difficile de trouver une répartition équitable.
 

HilfeHilfe

16.07.2020 20:46:32
  • #5
Oui bien sûr, et ensuite chaque centime est enregistré et comptabilisé.
 

pagoni2020

16.07.2020 21:27:12
  • #6

Celui qui le souhaite.......ou qui aime exagérer-
 

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