ypg
27.02.2021 20:10:34
- #1
qu’on ne vend qu’au bout de 40 ou 50 ans et qu’on a alors du mal à trouver un acheteur,
En principe, il est inutile d’en discuter, car chacun part de conditions différentes.
Il faut regarder soi-même où l’on se situe. Si l’on n’a plus d’enfants, le bail emphytéotique vaut vraiment le coup. Si on en a quelques-uns et l’attitude que les enfants ne font rien eux-mêmes, ils veulent hériter.
Es-tu riche, es-tu pauvre ? Peux-tu financièrement remettre/la maison en état/après 25 ans de telle sorte que d’autres réflexions valent la peine ? Ou tombes-tu sur des acheteurs qui ne veulent que le terrain et ont déjà commandé la grue de démolition ?
Achètes-tu dans la ceinture périphérique un terrain avec le danger insoupçonné qu’une autoroute sera construite devant le terrain ? Ou 250 mètres de quelque chose d’autre qui réduit vraiment la valeur ? Chacun doit voir lui-même comment il gère ses souhaits et sa situation.
Tu es pourtant la femme avec le petit bungalow ? Te fais-tu des soucis sur le fait que la maison aura plus tard à peine une cible ? Pas deux chambres d’enfant ? Tout assez bon marché... je ne veux pas dévaluer ça, mais chacun selon ses envies et ses moyens.
Ici, nous n’avons PAS d’autres options que ces terrains en bail emphytéotique... le demandeur a environ 40 ans... c’est maintenant exactement une situation à partir de laquelle on peut faire quelque chose ou pas. Fin de l’histoire !
Si on ne se voit pas ici – alors pas. Mais il ne faut pas en parler négativement maintenant, car ça ne sert à rien. On peut ici, avec un bon salaire et peu d’apport personnel, construire quelque chose et dans 20 ans, quand les enfants partiront, vendre et chercher autre chose.