ypg
25.02.2021 22:44:10
- #1
Quelqu'un d'autre l'aurait dit plus clairement (je ne relis pas ça maintenant, c'est à toi de voir)
On t'attribue toute une gamme d'options ou d'avantages, et tu ne vois que le petit inconvénient minime. Tu passes tout le reste sous silence.
C'est comme ça : quand on déroule le tapis rouge à quelqu'un, qu'on tend la main pour l'accompagner ou qu'on propose différents chemins, et que l'autre personne refuse d'emprunter ce tapis par entêtement, a peur de la main tendue ou refuse de prendre un chemin, il n'y a alors plus rien à faire. Certaines personnes n'arrivent tout simplement pas à s'en sortir. Ce fameux « aurait, aurait vélo » semble aussi être une sorte de signe.
Tu ne veux pas quitter ta zone de confort, mais pour 500 000 un logement en propriété... ce n'est pas comme ça que ça marche.
Il y a toujours un « mais » chez toi.
Ou comment vois-tu les choses ?
Nous pouvons écrire ici encore pendant des années - mais cela ne changera pas la situation.
On t'attribue toute une gamme d'options ou d'avantages, et tu ne vois que le petit inconvénient minime. Tu passes tout le reste sous silence.
C'est comme ça : quand on déroule le tapis rouge à quelqu'un, qu'on tend la main pour l'accompagner ou qu'on propose différents chemins, et que l'autre personne refuse d'emprunter ce tapis par entêtement, a peur de la main tendue ou refuse de prendre un chemin, il n'y a alors plus rien à faire. Certaines personnes n'arrivent tout simplement pas à s'en sortir. Ce fameux « aurait, aurait vélo » semble aussi être une sorte de signe.
Tu ne veux pas quitter ta zone de confort, mais pour 500 000 un logement en propriété... ce n'est pas comme ça que ça marche.
Il y a toujours un « mais » chez toi.
Ou comment vois-tu les choses ?
J'ai simplement l'impression que quoi que nous fassions, c'est une erreur. Ne rien faire serait aussi une erreur et alors il n'y aurait pas non plus l'enfant n° 2.
Nous pouvons écrire ici encore pendant des années - mais cela ne changera pas la situation.