Reportage : Construire une maison comme prévoyance pour la retraite ? Certainement pas !

  • Erstellt am 03.02.2019 11:58:08

Nordlys

03.02.2019 18:28:55
  • #1
En face en diagonale. Voiture KZ RW. Ingénieur de Rottweil. Travaille maintenant depuis ici. Il lui reste encore quelques années. Enfants grands. A construit ici avec sa femme et le chien. Pourquoi ici ? Nostalgie du bleu et de la mer.
 

haydee

03.02.2019 18:31:58
  • #2
C'est vrai, le travail mobile augmente.

Les artisans, en particulier les artisans du bâtiment, sont habitués à travailler à l'extérieur. Que ce soit à Francfort, Munich ou en Suisse. Ce sont les compétences sociales que le village peut apporter qui sont plus importantes.
 

haydee

03.02.2019 18:33:22
  • #3
Zaba, de tels temps, espérons-le, ne reviendront plus.
La guerre, personne n'en a besoin.
 

Nordlys

03.02.2019 18:38:30
  • #4
Bizarre, haydee, qu'il soit quand même partout. Ne compte jamais sur la raison chez les gens. Nous sommes différents. Et qui peut aimer peut aussi haïr, sinon il ne pourrait pas aimer....
 

Zaba12

03.02.2019 18:42:35
  • #5
Qui voudrait cela déjà, mais les gens oublient malheureusement très vite. Vers les années 2000, personne n’aurait supposé comment le paysage politique mondial changerait dans la direction actuelle. Quelques fous de plus qu’aujourd’hui et ça partirait en vrille.
 

Jean-Marc

03.02.2019 18:56:00
  • #6


Cela ne concernera bien sûr pas tout le monde et tout. En tant qu’infirmière, éducatrice ou ouvrier en travaux publics, on peut supposer que l’on sera encore nécessaire sur place dans 30 ans. Mais plus le groupe de ceux qui peuvent travailler depuis chez eux sera important, plus la clientèle potentielle pour l’immobilier rural sera large. La vacance des logements est avant tout liée au manque d’emplois bien rémunérés sur place. Une ville ou une maison peut être très peu attrayante – avec suffisamment de travail local, les gens s’y installent quand même ou achètent la maison la plus laide. Et tout le reste (magasins, cafés, médecins, etc.) suit.

La pénurie de main-d'œuvre qualifiée va encore s’aggraver dans les prochaines années, et les entreprises devront redoubler d’efforts pour répondre aux besoins de leurs employés afin de les garder jusqu’à la retraite. Si je peux faire économiser à ma collaboratrice très qualifiée deux heures de stress dans les transports chaque jour et lui permettre de passer plus de temps avec ses enfants à la maison, j’ai un avantage net par rapport à l’employeur qui paie peut-être plus, mais veut voir tout le monde sous un même toit à 8 heures précises le matin.
 
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