Coût mensuel de la vie avec un enfant

  • Erstellt am 15.02.2016 14:02:33

BastianB

17.02.2016 10:23:28
  • #1


Parce que, de cette façon, l'enfant apprend peut-être que l'on ne reçoit pas les choses simplement comme ça, mais qu'il faut faire quelque chose (travailler) pour les obtenir.
 

Sebastian79

17.02.2016 10:30:30
  • #2
Kehr, ne dis pas des choses comme ça maintenant. Il est probable que son enfant puisse aussi danser et applaudir son nom...
 

Neige

17.02.2016 10:32:54
  • #3

Je suis d'accord. J'ai constaté – y compris chez moi-même – que lorsque je voulais m'offrir ou offrir à mes enfants un "luxe", il est en effet utile d'en gagner au moins une partie soi-même. L'appréciation pour quelque chose d'acquis, que l'on a au moins partiellement financé soi-même, est selon moi bien plus grande que si on recevait tout... vous voyez ce que je veux dire.
Ainsi, à mes yeux, il n'est pas condamnable d'encourager ses enfants à assumer eux-mêmes certains de leurs désirs.
 

Bauexperte

17.02.2016 10:44:13
  • #4
Bonjour,


Cela doit être l'explication pour laquelle le budget pour vos aliments peut être maintenu relativement bas. Si les repas de la crèche et de la cantine disparaissaient, la somme serait différente chez vous ; à moins que tu n'envoies tout le monde avec la vieille boîte-repas à la crèche et à l'université.


Autrefois (années 80 jusqu'au début des années 90), quand nos deux bébés étaient encore petits, je faisais pareil ; et oui, c'est vrai – faire ses courses sainement et cuisiner soi-même revenait globalement moins cher que le fast-food & Co. Pourtant, chaque semaine, il restait 100 DM chez le boucher et presque la même somme encore au marché, comme au supermarché. Jusqu'à ce que je rencontre un agriculteur auprès duquel j'achetais dorénavant tous les six mois un demi-cochon et un quart de bœuf. Si je ne me trompe pas, pour 9,00 DM le kilo de porc et 11,00 DM le kilo de bœuf ; bien sûr, tout compris, donc aussi avec les abats & Co.

Ce "luxe" n'est toutefois réservé qu'à peu de familles et, ne nous faisons pas d'illusions, il faut aussi du temps pour faire des courses saines et cuisiner tous les jours. Dans les familles où un parent ne peut pas s'occuper des enfants à plein temps – jusqu'à leur entrée à l'école –, il faut nécessairement dépenser plus d'argent pour les aliments. Cela se répercute ensuite sur tous les autres achats. Celui qui veut vivre consciemment ne penserait jamais à acheter chez le kik de Verona. Les vêtements d'occasion sont toujours possibles jusqu'à un certain âge ; les pièces n'ont quasiment aucune chance de s'abîmer. Mais ensuite, cela devient brusquement et durablement plus cher ; les bébés grandissent tout simplement trop vite. Rien que de penser à ce que nous avons payé pour les chaussures...

En ce sens, je pense qu'il est impossible de fixer une valeur « x » pour les aliments, applicable à chaque famille. Les situations et exigences respectives dans les familles sont trop individuelles.

Cordialement,
Bauexperte
 

albert.hagenlocher

17.02.2016 10:46:03
  • #5
Alors, le mien sait qu'il faut travailler pour ça et que, par exemple, un téléphone à 500 euros a beaucoup de valeur ?
Je n'ai pas besoin de lui apprendre cela en le limitant, je PARLE avec lui et il est intelligent pour comprendre cela.
Celui qui limite ainsi son enfant suscite des désirs.
Le mien n'en a pas parce qu'il sait qu'il est traité de la même manière et qu'on ne le bride pas par envie.
Cordialement
 

Uwe82

17.02.2016 10:50:16
  • #6
Cela n’a rien à voir avec le fait de « ne pas souhaiter » quelque chose à quelqu’un. Parler « aide » pour certains, pour d’autres non. Les enfants sont aussi différents que leurs propres exigences. Mais en général, c’est ainsi : entendre quelque chose et le vivre soi-même sont deux expériences d’intensité différente. En règle générale, on apprend davantage et de façon plus durable par la seconde. Je le sais en tant que formateur professionnel et transmetteur de connaissances au quotidien. Et c’est toujours une question d’égalité de traitement : j’ai travaillé dur pour ce téléphone à 500€, dans certaines limites, les enfants doivent aussi le faire, afin qu’ils apprennent ce que c’est. Et qu’ils ressentent aussi le bon sentiment qui en découle. Bien sûr, toujours dans le cadre des possibilités et du temps disponible. Si, par exemple, l’école en pâtit, c’est autre chose...
 
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