moHouse
07.07.2020 18:04:56
- #1
Je doute encore que celles-ci disparaissent complètement. Ici à Düsseldorf et ses environs, il faut toujours s’acquitter de 3,57 ou 4,76 %. Pour les biens immobiliers relativement demandés, c’est en général toujours 4,76. (Je ne baisse pas délibérément à cause de la TVA réduite. La plupart des agents immobiliers ici ne le font pas. Ils se l’approprient en plus.) En pratique, à payer en principe toujours par l’acheteur seul.
Je pense qu’aucun vendeur n’est pressé de devoir payer 4,76 % sur la table. Même si cela ne vient “que” déduire de son prix de vente réalisé.
À partir de janvier, une vraie concurrence prendra enfin place. Cela veut aussi dire que, outre des critères qualitatifs, le prix sera finalement décisif. Et cela profitera à parts égales à l’acheteur.
Cela PEUT toutefois signifier que la part du vendeur sera intégrée au prix. Alors, la question est à quel pourcentage la commission se stabilisera.
Si c’est en dessous de la moitié de la commission actuelle, c’est bon pour le financement. Tout ce qui est au-dessus de la moitié est plutôt mauvais.
Exemple (toutes les données arrondies) :
Aujourd’hui :
Commission (à payer uniquement par l’acheteur) : 4,76 % = 14 000 euros
Prix de la maison : 300 000 euros.
Évaluation de la banque : 280 000 euros
À partir de 2021 :
Commission (chacun pour l’acheteur et le vendeur) : 3,57 % = 11 000.
Prix de la maison : 311 000 euros
Évaluation de la banque : 280 000 euros
On a donc économisé 4 000 euros de capital propre. L’écart entre l’évaluation bancaire et le prix s’est cependant agrandi de 11 000 euros.
Et devinez d’où la banque voudra généralement couvrir le déficit...
Pour résumer l’exemple, si cela se stabilisait à 2 % :
Capital propre économisé : 8 000 euros
L’écart entre l’évaluation bancaire et le prix d’achat n’a augmenté que de 6 000.
Je pense qu’aucun vendeur n’est pressé de devoir payer 4,76 % sur la table. Même si cela ne vient “que” déduire de son prix de vente réalisé.
À partir de janvier, une vraie concurrence prendra enfin place. Cela veut aussi dire que, outre des critères qualitatifs, le prix sera finalement décisif. Et cela profitera à parts égales à l’acheteur.
Cela PEUT toutefois signifier que la part du vendeur sera intégrée au prix. Alors, la question est à quel pourcentage la commission se stabilisera.
Si c’est en dessous de la moitié de la commission actuelle, c’est bon pour le financement. Tout ce qui est au-dessus de la moitié est plutôt mauvais.
Exemple (toutes les données arrondies) :
Aujourd’hui :
Commission (à payer uniquement par l’acheteur) : 4,76 % = 14 000 euros
Prix de la maison : 300 000 euros.
Évaluation de la banque : 280 000 euros
À partir de 2021 :
Commission (chacun pour l’acheteur et le vendeur) : 3,57 % = 11 000.
Prix de la maison : 311 000 euros
Évaluation de la banque : 280 000 euros
On a donc économisé 4 000 euros de capital propre. L’écart entre l’évaluation bancaire et le prix s’est cependant agrandi de 11 000 euros.
Et devinez d’où la banque voudra généralement couvrir le déficit...
Pour résumer l’exemple, si cela se stabilisait à 2 % :
Capital propre économisé : 8 000 euros
L’écart entre l’évaluation bancaire et le prix d’achat n’a augmenté que de 6 000.