Steffen80
30.10.2015 10:34:26
- #1
Ne mets pas en opposition loyer et financement. C’est un conte raconté par les banques depuis des décennies ! Pour la plupart, la maison individuelle n’est pas moins chère, au final, que de payer un loyer à vie. Il faut tout comparer : intérêts, frais annexes, assurances, entretien et réparations, et valeur résiduelle/valeur de revente à la fin de la durée. À cause du changement démographique, c’est justement là que ça coince, car la plupart construisent "à la campagne". Il faut un emplacement de choix pour pouvoir s’en sortir "sans perte" dans 30 ou 40 ans. Chez nous, à l’Est, cela est déjà très visible. Les prix dans les villes (périphérie proche !) explosent et à la campagne, on te jette les maisons "hInterhyprgeworfen".
Nous nous sommes beaucoup penchés sur la question suivante : payer un loyer à vie, flexibilité maximale et un "portefeuille d’actions élégant" que je peux toujours convertir en argent à court terme, ou propriété ? Nous avons choisi la version luxe -> propriété. Ce n’est rien d’autre. C’est un luxe et cela augmente la qualité de vie (du moins, je l’espère). Payer un loyer n’est pas mauvais et j’ai toujours aimé payer un loyer, et même maintenant, malgré l’augmentation, je paie chaque mois volontiers mon loyer. Je ne peux pas imaginer qu’un jour je prendrai plaisir à payer mes intérêts à la banque. Je n’aime ni les banques ni les intérêts.
Salutations, Steffen
Nous nous sommes beaucoup penchés sur la question suivante : payer un loyer à vie, flexibilité maximale et un "portefeuille d’actions élégant" que je peux toujours convertir en argent à court terme, ou propriété ? Nous avons choisi la version luxe -> propriété. Ce n’est rien d’autre. C’est un luxe et cela augmente la qualité de vie (du moins, je l’espère). Payer un loyer n’est pas mauvais et j’ai toujours aimé payer un loyer, et même maintenant, malgré l’augmentation, je paie chaque mois volontiers mon loyer. Je ne peux pas imaginer qu’un jour je prendrai plaisir à payer mes intérêts à la banque. Je n’aime ni les banques ni les intérêts.
Salutations, Steffen