La clémence de ton agent des impôts n'a rien à voir avec une « légalité stricte ».
Il y a maintenant 5 à 10 agents différents dans quatre villes à cause des déménagements. Donc pas de clémence, mais une intention fondamentale de réaliser un profit. Si les frais publicitaires proviennent de rénovations / réparations issues du fonds de réserve pour entretien, je ne peux pas influencer cela – mon intention de réaliser un profit est donnée sans facteurs spéciaux. On peut tout gérer assez proprement et aussi prouver l’intention de réaliser un profit dès le début de la location. Un beau tableau Excel aide à la preuve.
L’intention de réaliser un profit est en effet calculée non pas sur quelques années, mais sur toute la période totale (c’était 30 ans, si je me souviens bien). Avec les remboursements progressifs, la situation est très différente plus tard au niveau des frais publicitaires.
De plus, le bailleur peut appliquer une majoration forfaitaire de 10 % sur les revenus pendant toute la durée, et en parallèle une déduction de 10 % sur les frais publicitaires. Il faut soit se familiariser avec le sujet soi-même, soit investir de l’argent pour aller chez le conseiller fiscal.
Et si je veux être sûr, je prends une base locative de 75 %. Car alors, tu n’as même plus à discuter puisque cette base locative est considérée comme suffisante pour une intention de réalisation de profit.
La « légalité stricte » fonctionne, mais avec les faibles taux d’intérêt (ce qui, d’ailleurs, n’est plus d’actualité) et en même temps seulement 50 % de loyer, il est difficile de faire les calculs.