Planification de la culture / Modification

Je peux me détacher de certains No-Gos sous certaines conditions.

Le seul véritable tabou inébranlable est de transférer les parents à l’[OG]. J’en ai reparlé ce week-end, et c’est tout simplement impossible.

Les conditions-cadres se limitent donc au fait que seul l’[OG] peut être modifié (extension, transformation, surélévation,...) ainsi qu’aux aspects financiers. Pour l’objet existant sans modifications, je peux, dans le meilleur des cas, obtenir un prêt d’environ 80 000 €. Tout ce qui dépasse doit impérativement être à 100 % valorisant afin d’assurer le financement.

Cela doit également inclure le fait que nous devrions déménager pendant 3 mois ou d’autres frais induits par les mesures.

Pourquoi la toiture est-elle affectée différemment que lors de l’agrandissement par l’architecte, cela ne m’apparaît pas clair.

Tu veux dire que cela te revient moins cher d’ajouter encore 3x10m = 30m² supplémentaires, plutôt que d’enlever la moitié du mur extérieur et de le soutenir correctement ? *douteux en se grattant la tête*

Dans l’agrandissement tel que prévu, seule la lucarne est enlevée et un passage vers l’agrandissement y est aménagé. Autrement dit, aucun élément porteur n’est touché. Quand je regarde ton projet, c’est en fait le mur arrière complet de l’ancien bâtiment, sur presque toute sa largeur, qui est enlevé ; en plus, environ 50 % du chauffage au sol existant ainsi que la chape doivent être retirés, parce que tout simplement les murs qui supportent les conduites et les éléments de commande disparaissent.

C’est certainement envisageable. Le coût ne m’est pas clair.

Si je compte environ 2000 €/m² de surface habitable, une extension de 30 m² de l’annexe me coûterait environ 60 000 € — probablement moins.

Comme je l’ai dit, c’est envisageable — je vais le proposer à l’architecte. En termes de répartition, j’aime vraiment beaucoup ce projet.

Il a encore souligné que cela s'applique à une extension, c'est-à-dire à des mesures qui augmentent la valeur quasiment dans son intégralité. Les transformations dans l'ancien ne comptent que partiellement (environ 50%) comme une augmentation de valeur -

Cette logique (transformation = modification, pour du neuf on démolit l'ancien ; extension = matériaux et volume construit s'ajoutent en solde) ne s'applique toutefois qu'à l'accord de financement. Du point de vue du marché, on cherche ici à créer une disposition des espaces peu attrayante, et c'est donc de l'argent largement gaspillé. Si l'on voulait ou devait vendre le bien, il rapporterait peut-être 40 000 EUR de plus, après avoir investi 200 000 EUR.

Cela peut être vrai en théorie, mais jusqu'à présent, je n'ai eu le sentiment chez aucune banque qu'ils prêtent attention à de tels "détails" lors d'une évaluation.

La plupart ont saisi la surface habitable, l'emplacement et d'autres paramètres, puis déterminé un chiffre (souvent Sprengnetter). Sur cette base, le financement a été calculé.

Jusqu'à une valeur vénale de 300 000 €, cela serait apparemment toujours suffisant aujourd'hui, personne ne vient vérifier précisément la valeur précédente de la maison, et personne ne regarde non plus si elle a réellement l'air aussi bien après coup et si elle vaut vraiment autant plus.

Je peux tout à fait me tromper, mais c'est mon impression et cela m'a été confirmé par des conseillers ainsi que d'autres maîtres d'ouvrage dans mon cercle de connaissances.

Ce n'est qu'à partir d'une valeur vénale de 300 000 € que (du moins la banque chez qui j'étais samedi) la banque est obligée de demander un rapport d'expertise avant le financement, et de s'y conformer ensuite.

Mais là encore, le conseiller a dit que dans la pratique, cela se passe ainsi : avant d'accorder un financement, un expert se rend sur place, évalue le bien, et c'est tout. La plupart du temps, il ne consultera pas les plans des travaux prévus. Et même s'il les consulte, il évaluera uniquement ces plans. Que ceux-ci soient ensuite réalisés tels quels ou entièrement modifiés, cela ne dérange personne.

Si c'est vraiment ainsi, je ne peux pas juger, mais c'est ce qui a été présenté.

C'est bien joli tout ça, mais ta sécurité et celle de ta famille, en cas de problème, ça ne t'intéresse pas du tout ? Est-ce que ça t'importe vraiment seulement de réaliser un financement pour tes projets actuels, quoi qu'il en coûte ?

Cela peut être vrai en théorie, mais jusqu'à présent, je n'ai eu le sentiment dans aucune banque qu'ils faisaient attention à de tels "détails" lors d'une évaluation.

Pour la banque, cela peut très bien aller. Je voulais seulement faire remarquer que cela ne se transpose pas 1:1 au marché, cela peut se présenter différemment. En cas de vente – que l'on n'a pas toujours entièrement sous contrôle – la valeur supposée peut se révéler tout autre.

Pour la banque, cette logique "le contre-valeur construite est tangible ensuite" est effectivement aussi adaptée à la pratique. Du point de vue de l'acheteur, cela donne un objet de type "on trouve ailleurs un bien avec une meilleure découpe".