Comparabilité des coûts Architecte vs. Entrepreneur général

  • Erstellt am 04.03.2021 16:57:35

askforafriend

07.03.2021 11:08:32
  • #1


C'est un point important - nous espérons que l'architecte nous proposera quelques plans qui seront ingénieux. Chez le contractant général, on nous a dit que nous pouvions également rendre la maison type plus courte / plus longue / plus large, etc., aucun problème - à la question de savoir comment intégrer habilement nos idées d'aménagement intérieur dans la maison, ce n'est pas vraiment une réponse satisfaisante :)
 

Nida35a

07.03.2021 11:21:50
  • #2
Si la maison de type est améliorée avec 100 000 €, ce n’est pas correct, alors un maître d’œuvre général sans maison de type devrait proposer la maison directement selon les souhaits. Avec l’amélioration de 100 000 €, une grande partie reste directement chez le maître d’œuvre général de la maison de type, simplement parce que la touche - de la calculatrice coince.
 

11ant

07.03.2021 12:32:10
  • #3

Le plus (comparatif rhénan, SCNR) surtout lorsque l’on entend par là aussi s’abstenir d’ornements de toit comme les angles, les bow-windows, les pignons à redents, etc.

C’est une ânerie. Seule la longueur (dans le sens de la crête) et de préférence seulement un ou deux champs de plafond concernés correspondent à cela.

Mais c’est, à condition de savoir la lire, une réponse très claire, qui est : « si un peu plus de taille avec la même répartition ne vous suffit pas, alors cette maison-type est au moins une mauvaise base » (ce qui s’applique d’ailleurs aussi pour une autre forme de toit).
 

Yaso2.0

08.03.2021 12:40:18
  • #4


Nous pensons pareil et, en tant que lecteur de longue date et après plusieurs : on construit, non finalement pas, ah si - maintenant un immeuble collectif -, ah non plutôt pas, ah finalement on construit quand même... j’ai toujours beaucoup appris ici. Notamment ce qu’on appelle la marge de sécurité, qui permet de prendre certaines décisions spontanées sans que cela ne creuse un énorme trou dans le budget.



Oui absolument ! Tous ceux qui parlent avec nous et demandent par exemple si nous avons planifié ceci ou cela, ajoutent "on ne construit qu’une fois après tout". Personnellement, je ne connais en fait jusqu’à présent que des personnes qui n’ont jamais construit ou qui le font pour la première fois :)



Je suis très heureux pour vous que tout se passe bien chez vous, ou que vous ayez déjà pu fixer/rechercher beaucoup de coûts à l’avance.

Les gros chiffres nous inquiétaient au début, etc., puis nous avons suivi la tendance selon laquelle le standard du maître d’œuvre nous suffirait (comme nous l’avions vu chez des amis qui avaient aussi construit avec un maître d’œuvre). Mais à y regarder de plus près, nous avons remarqué que nous préférions finalement faire différemment.

Je ne peux que me répéter, nous avions quasiment prévu les marges de sécurité et c’est pourquoi notre situation financière est restée inchangée.
 

11ant

08.03.2021 13:35:19
  • #5

J'ai un peu plus de cinquante ans et bien sûr, je peux mourir dès demain – mais si ce n'est pas le cas, une « prédisposition héréditaire » me fait envisager de devoir encore habiter pendant quatre décennies. Le plaisir de construire, c’est bien joli, mais d’un point de vue commercial, être locataire me convient pour l’instant. C’est-à-dire que, même si je ne suis pas encore pressé de construire, il m’arrivera probablement – car personne ne souhaiterait à son pire ennemi une stagnation de son évolution durant quarante ans – encore deux fois de construire. Quand on s’intéresse lucidement aux tendances du logement senior, on constate que l’attachement à la propriété acquise pendant les meilleures années et la volonté de rester à tout prix dans ce logement jusqu’à la tombe est une spécificité des générations nées entre les deux guerres mondiales, et que déjà celles nées sous Adenauer développent d’autres tendances. En ce sens, il est tout simplement fermer les yeux sur la vérité du « panta rei » quand des maîtres d’ouvrage de la génération Kohl continuent sérieusement à répéter comme une vérité toujours valable qu’on ne construit qu’une fois. S’ils acceptaient tous de parier avec moi, ma retraite serait déjà assurée – et en grande pompe :)
Aujourd’hui, toute personne de moins de quarante ans et salariée dépendante devra statistiquement – donc pour tous ceux que cela ne concernera pas, cela concernera d’autant plus d’autres – se trouver au moins une fois face à la décision suivante : être sans emploi ou percevoir un complément de revenu à l’endroit de sa petite maison perdue au fin fond de la campagne, ou bien faire une heure et demie de trajet vers un nouveau poste adapté à sa formation, ou encore déménager près de ce nouveau poste. Les biens immobiliers sont immobiles, comme le dit leur nom. Les personnes qui peuvent se permettre aussi d’être immobiles ont un travail non local ou sont retraitées ou rentiers.
Il est temps d’enterrer joyeusement cette attitude dépassée du « on ne construit qu’une fois », de ne pas la pleurer en tant que croyance réconfortante, mais de reconnaître qu’elle est aussi un démon : le maître d’ouvrage s’assoit alors comme un lapin devant un serpent, paralysé par la peur, interprétant « une seule fois » comme une « occasion unique gâchée = sentence de perdition », scellant ainsi son purgatoire en choisissant la mauvaise teinte pour ses briques de parement. Les gens, décontractez-vous ! – ce n’est QU’une maison, et on peut aussi la changer.
 

askforafriend

10.03.2021 18:27:24
  • #6
Brève mise à jour : Nous avons eu une conversation constructive avec l'architecte préféré et recevrons d'ici la fin de la semaine une estimation des coûts accompagnée d'une offre. Sur le plan des sensations et du conseil, c'est à un tout autre niveau que le conseiller du [GU].
 
Oben