Bieber0815
19.10.2017 06:45:39
- #1
Exact, il faut d'abord prouver un dommage, puis on peut demander une indemnisation. Si l'autre refuse la demande (ce qui est à prévoir), il faut poursuivre en justice. Bon courage ! Pour éviter cela, on peut convenir d’une clause : 100 euros par jour ouvrable au-delà de la date d’achèvement… environ. Un avocat spécialisé en droit de la construction fournit des formulations utiles. Cela peut être dans certains cas inférieur au dommage réel, mais c’est un droit direct qu’il ne faut pas faire reconnaître par voie judiciaire.Des dommages-intérêts prouvables et appropriés.
Il est alors indiqué 5 % du montant restant, une fois payés d’abord 30 % pour le terrain (après le début des travaux de terrassement). Et 5 * 70 / 100 = 3,5. Je doute que l’entrepreneur général (dont tu n’achètes pas le terrain) accepte 5 % pour cette raison.Pour la réglementation des agents immobiliers et des promoteurs, je trouve même des paiements finaux de 5 %.
Alors c’est ainsi et cela me conviendrait, tant que le prix global de l’entrepreneur général est correct (incluant les 4000 euros). Ça paraît bête, mais je prendrais quand même mon propre conseiller, indépendamment de l’entrepreneur général.Ils refusaient absolument de le retirer.
Eh bien, tu veux optimiser le package global et probablement tu ne trouveras pas d’entrepreneur général où tout (!) convient, même le prix.Ou mieux se concentrer sur les points date d’achèvement, planning des paiements et retenue ainsi que le retrait de l’expert ?
Nous ne pouvons pas dire quels aspects sont particulièrement importants pour toi. Pour moi, la qualité de construction passe avant tout. Ensuite, le respect des délais. Le planning des paiements doit être évalué en tenant compte de la solvabilité de l’entrepreneur général. Est-il proche de la faillite ou paraît-il solide d’après les chiffres ? On trouve les bilans annuels dans le Bundesanzeiger. Souvent, la banque qui finance, si elle existe, peut aussi donner un conseil.
Et enfin : on ne sait jamais à l’avance à qui on a affaire. Il paraît qu’il existe des entrepreneurs généraux qui, lorsqu’ils ont donné une date d’achèvement sur parole, la respectent aussi. Et puis il y a des contractants pour lesquels tu as seulement ce qui a été signé noir sur blanc. Le caractère de ton interlocuteur, tu ne le découvriras peut-être qu’après coup. C’est pénible pour la construction d’une maison, qu’on fait en général une seule fois et dans laquelle on investit « tout ». Un dilemme.