Avec le niveau des taux d'intérêt à l'époque, la maison aurait fini par être perdue tôt ou tard.
Comment vois-tu cela aujourd'hui avec la distance nécessaire ?
Ce n'est pas tout à fait le cas. À l'époque, nous n'avions qu'un remboursement de 1,5 % et la mensualité était calculée de manière à être faisable avec un salaire. Nous avions une vingtaine d'années et donc, bien sûr, nous n'étions pas longtemps en emploi.
Pendant les 10 ans, un divorce est survenu et le nouveau financement est plus élevé que l'original car il inclut le paiement d'un ex-conjoint.
S'il n'y avait pas eu de divorce, les remboursements anticipés prévus auraient fonctionné ces dernières années et au plus tard après 15 ans, la maison aurait été remboursée. Beaucoup de choses auraient été différentes... On ne sait jamais ce qui peut arriver et je suis content que cela ait fonctionné ainsi et que la maison n'ait pas dû être vendue. C'est toujours bien de planifier, par exemple vouloir faire des remboursements anticipés, mais qui sait ce qui se passera dans quelques années et comment tout va évoluer.
Il faut donc maintenant financer plus longtemps, mais la maison sera quand même payée à la retraite et l'un de nous peut gérer le financement seul sans problème.