Que pouvons-nous financer ?

  • Erstellt am 21.01.2019 21:24:04

HilfeHilfe

27.01.2019 13:14:32
  • #1
Je trouve que les deux laissent beaucoup à désirer. À la bourse, il faut gérer activement son portefeuille pour atteindre ces rendements. Il y a aussi un risque de perte jusqu'à la faillite totale et un risque de défaut (oui, aussi avec les [ETF], voir Lehman). Avec l'immobilier, il faut constamment mettre la main à la poche quand quelque chose tombe en panne, à partir de 10-15 ans, les nouveaux investissements commencent, comment sont-ils intégrés ? Le sujet de la bourse me tient à cœur. En tant que banquier, je suis tombé dans ce piège comme pas mal de mes collègues. Quand les jeunes parlent encore de rendements de rêve, je souris. Et quand on a besoin d'argent, les cours sont au plus bas... eh bien.
 

chand1986

27.01.2019 13:28:02
  • #2
Les ETF n'ont pas besoin d'être gérés activement.

Sinon : une défaillance totale ne devrait pas se produire avec une répartition suffisante. Mais si on perd -50% lors d'un crash et qu'on a besoin de liquidités, cela pose vraiment un problème.

Mais le rendement mentionné, je l'ai vécu comme réel. Il est aussi basé sur des faits historiques.
 

Egberto

27.01.2019 13:34:32
  • #3
Grandiose comment ce fil a été détourné.
 

HilfeHilfe

27.01.2019 14:28:57
  • #4
Publication audacieuse. Cela signifie que tu as obtenu ces rendements passivement ? C'est-à-dire acheté une fois, jamais géré activement achats et ventes, puis réalisé ? À la bourse, il faut toujours gérer activement ou alors tu as trop d'argent et de temps. Alors tu peux acheter des blues et les laisser reposer des années.
 

chand1986

27.01.2019 14:56:42
  • #5
Non, on peut garder passivement des ETFs à capitalisation.

Non, il n’est pas nécessaire de gérer activement en permanence. Buy&hold et jeter un œil deux fois par an. Ça marche.
 

HilfeHilfe

27.01.2019 16:29:45
  • #6

Et ensuite des rendements aussi élevés ? Jamais de la vie. La bourse demande beaucoup de temps et ce n’est pas à sens unique. Toute personne qui affirme le contraire n’y connaît rien.
 
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