11ant
11.10.2023 15:57:47
- #1
Quel serait un exemple typique d’erreur dans un appel d’offres et ses conséquences évitables ?
Les profanes ont tendance à commander tout un orchestre symphonique de la même manière qu’un soliste. Ici, ce n’est pas un plombier pour un robinet ou un électricien pour une prise de courant, mais parfois on joue simultanément au football et au tennis sur le même terrain. Selon les plans d’autorisation (que beaucoup de propriétaires utilisent comme base de demande), cela mène à un chaos garanti. Même en cas de planification détaillée mais d’absence de direction des travaux (ou tout simplement : la reprogrammation de l’ordre des matchs sur le terrain), il arrive que l’artisan dise : « ce n’était pas convenu ainsi, je dois d’abord enlever ce que mon prédécesseur a mal fait » (heures de régie). L’erreur classique dans les demandes non professionnelles est que les masses et quantités sont mal déterminées et que la facturation doit ensuite se faire « sur métrés ». Le grand classique numéro un est ainsi le litige sur les surfaces à mesurer. La deuxième place revient aux heures de régie déjà mentionnées. Que les prestations complémentaires ne soient pas suffisamment traduites en avenants arrive malheureusement aussi sans l’intervention de profanes. Mais fondamentalement, faire un appel d’offres avec un professionnel finit par payer, y compris financièrement (et nerveusement surtout).
Oui, les distances de vue ici incitent à réfléchir à nouveau avec attention.
La vue des parcelles 25 à 27 donne vers un horizon qui monte, et pour les parcelles 8 à 13 vers des jardins voisins en contrebas, où la protection visuelle pourrait éventuellement être renforcée.
Mes deux parents sont seuls et ont plus de 70 ans. Mais oui, probablement une pièce au rez-de-chaussée et à l’étage suffit ici aussi.
Beaucoup d’enfants (en visite de Noël) sous-estiment massivement à quel point les parents ont encore changé entre 50 et 70 ans. Par ailleurs, la règle « hommes à l’intérieur seulement en ambulatoire » ne s’applique absolument pas à toutes les dames mûres. Maman pourrait bien ramener un nouveau partenaire de danse. Je prévoirais une suite séparée, où l’on peut aussi se retirer en mode « garni », avec une « salle de bain pour enfants ». Ceux à qui la cuisine et les repas communs en tant que situation normale quotidienne ne plaisent pas sur le long terme doivent aussi en tenir compte dans la planification. Un petit « appartement de vacances » ne suffit pas pour pouvoir bien s’éviter mutuellement. On rêve beaucoup en rose de l’intensité des liens familiaux, ce qui mène en pratique à des tensions prolongées. Pour une maison individuelle isolée, un terrain de 450 m² suffit, avec plus d’espace pour les enfants turbulents et leurs camarades de jeu 550 m², et pour une maison intergénérationnelle complète on atteint déjà environ 700 m². Quelque part, il faut bien qu’aille le poulailler où mamie fait de la moto ;-)