Quelle serait une couche de plâtre suffisante pour ne pas favoriser la formation d’algues ? Quel type de plâtre devrait être préféré ?
Mon niveau de connaissance :
- épais (>1,5 cm)
- minéral
- perméable à la diffusion, donc pas de peinture hydrofuge, etc.
Donc exactement le contraire de ce qui est généralement fait (enduit mince bon marché en résine synthétique, peint avec une peinture hydrofuge, probablement incluant des pesticides contre les algues)
Si tu économises 25 % (!) => 216 kWh par an => 10,41 EUR d’économies par an ici avec le tarif gaz actuel => 87 centimes d’acompte par mois.
Eh bien, d’où viennent ces 25 %, quelle est cette cible ?
Le fait est que construire monolithique coûte plus cher pour atteindre le même standard d’isolation qu’avec un système d’isolation thermique par l’extérieur - en particulier avec du polystyrène expansé. C’est ce que confirment clairement les offres dont nous disposons. Et nous devons tous atteindre un standard d’isolation, ne serait-ce que selon la réglementation sur les économies d’énergie. Atteindre un KFW 55 est alors relativement simple, puisqu’il faut seulement quelques centimètres de polystyrène en plus. En contrepartie, il y a une subvention de remboursement de 5 000 € et un avantage sur les intérêts grâce aux prêts KfW.
C’est pourquoi je trouve étrange cette approche qui consiste à poser une économie fictive de 25 % et à estimer des consommations quelconques. Calcule plutôt que chaque fissure dans la paroi monolithique crée un pont thermique. De même pour la dalle de plancher contre l’air extérieur.
Ne te méprends pas, j’aimerais aussi construire monolithiquement. Cela me semble intuitivement la « bonne » méthode. Mais le surcoût est simplement là, le béton cellulaire me plaît aussi assez, et une construction à double paroi avec brique de parement n’est pas possible ici (à mon avis, l’idéal absolu).
Un seul pic épeiche, une seule action mécanique, une seule infestation d’algues après 30 ans, etc.
Celui qui a le mystérieux dommage causé par un pic a choisi la variante la moins chère des moins chères. Prends un panneau en polystyrène expansé revêtu, de la laine minérale et/ou un enduit épais, alors cela relève du mythe.
La formation d’algues est réductible, mais elle survient par ailleurs aussi sur des murs monolithiques, quoique plus rarement. Certains facteurs environnementaux ne peuvent tout simplement pas être ignorés, par exemple la proximité de la forêt.
Actuellement, beaucoup de gens construisent des maisons avec des façades en enduit blanc. Quoi qu’il en soit, elles devront plutôt être nettoyées, qu’il y ait un système d’isolation thermique par l’extérieur dessous ou une construction monolithique. Bien sûr, quand des algues apparaissent, c’est plus tôt et/ou plus souvent, mais elles deviendront toutes sales.