Eh bien, un salon de coiffure en tant qu'activité secondaire est aussi quelque chose de différent d'un cabinet. Il y a des exigences d'hygiène imposées par le service de santé ainsi que les directives déjà mentionnées en matière d'accessibilité. Il faut également déclarer le changement d'affectation des espaces d'habitation en locaux commerciaux. On ne peut pas passer arbitrairement de l'usage résidentiel à l'usage professionnel en fonction de ce qui présente plus d'avantages.
Comme exemple concret :
Dans notre commune, il y a depuis environ 5 ans un salon de coiffure. Petit, cosy, intégré au sous-sol.
Il a été aménagé a posteriori dans un appartement déjà existant. Sans qu'il y ait de places de parking ou autres à prévoir.
Il est clair que cela ne m'apporte rien pour mon projet de construction (à l'époque chez quelqu'un d'autre...).
C'est pourquoi j'ai le cahier des charges concernant la situation des parkings. et celui-ci prescrit 2 places de stationnement. Elles sont situées devant le garage.