kaho674
12.01.2020 19:50:40
- #1
Je me demande vraiment pourquoi les gens se font ça, juste pour vivre dans une grande ville. Mais bon.
J'ai repris tes brouillons et les ai un peu variés :
Fondamentalement, quasiment partout, on n’a que les dimensions minimales ou même parfois en dessous. La technique occupe ici les 5 m² exigés. Tout y caser me semble pourtant absurde et surtout une peine à vie. Qui doit gérer les montagnes de linge de 5 personnes dans ce placard et les monter et descendre sans arrêt ? C’est fou.
Le hall d’entrée est bien sûr minuscule et il n’y a jamais de place pour un vestiaire pour 5 personnes. Un placard de 1,40 m x 0,50 m y est dessiné. La douche au rez-de-chaussée n’a que 80 cm de profondeur – cela peut être encore acceptable, car elle est un peu plus large.
Une alternative avec les installations techniques sous le toit :
Dans cette variante, ce sera déterminant ce qui est possible sous le toit. Voici une esquisse avec un mur de pignon bas à 0 et une pente à 45° (l’escalier n’a pas de palier) :
Si l’évacuation dans les combles fonctionne ainsi, c’est malheureusement douteux. Il faudra probablement échanger bureau et douche, et il ne resterait qu’un coin bureau. Je veux surtout montrer que dès qu’il y a un mur de pignon d’une taille significative, la technique pourrait aller sous le toit (aujourd’hui une arrière-cour). Ce serait utile. On aurait alors de la place pour se détendre au rez-de-chaussée et pourrait encore déplacer un peu des cloisons. Ce serait donc ma première question au maître d’ouvrage.
J'ai repris tes brouillons et les ai un peu variés :
Fondamentalement, quasiment partout, on n’a que les dimensions minimales ou même parfois en dessous. La technique occupe ici les 5 m² exigés. Tout y caser me semble pourtant absurde et surtout une peine à vie. Qui doit gérer les montagnes de linge de 5 personnes dans ce placard et les monter et descendre sans arrêt ? C’est fou.
Le hall d’entrée est bien sûr minuscule et il n’y a jamais de place pour un vestiaire pour 5 personnes. Un placard de 1,40 m x 0,50 m y est dessiné. La douche au rez-de-chaussée n’a que 80 cm de profondeur – cela peut être encore acceptable, car elle est un peu plus large.
Une alternative avec les installations techniques sous le toit :
Dans cette variante, ce sera déterminant ce qui est possible sous le toit. Voici une esquisse avec un mur de pignon bas à 0 et une pente à 45° (l’escalier n’a pas de palier) :
Si l’évacuation dans les combles fonctionne ainsi, c’est malheureusement douteux. Il faudra probablement échanger bureau et douche, et il ne resterait qu’un coin bureau. Je veux surtout montrer que dès qu’il y a un mur de pignon d’une taille significative, la technique pourrait aller sous le toit (aujourd’hui une arrière-cour). Ce serait utile. On aurait alors de la place pour se détendre au rez-de-chaussée et pourrait encore déplacer un peu des cloisons. Ce serait donc ma première question au maître d’ouvrage.