Désolé, ces choses non valorisantes, je les indique alors dans le plan de coûts et elles ne sont donc pas prises en compte comme valorisantes, en conséquence, la banque peut et va aussi les payer ou mettre à disposition cette somme.
Ces choses ne sont financées ultérieurement que si elles ne réduisent pas le taux de prêt au moment de la demande de crédit et si l'on constate ensuite que des postes d'ouvrage non valorisants doivent en être payés.
En d'autres termes, si je prévois des fonds propres pour ces choses, le taux de prêt ne change pas non plus, car les fonds propres n'apparaissent pas. Mais si j'intègre une cuisine dans le plan de coûts et indique ces 10 000 euros comme fonds propres, alors la banque paie aussi la cuisine. Ce taux est le même que si je ne mentionne pas la cuisine mais que je déclare aussi 10 000 euros de fonds propres en moins.
Mais ce n’est pas le cœur du sujet ici, il s’agit seulement de démarches techniques et d’économies d’intérêts. On n’a même pas besoin de le vouloir, mais ce n’est pas un argument pour dire que l’argent serait alors perdu ou que l’on ne pourrait plus s’acheter ces choses, car cela induit en erreur le consommateur qui souhaite justement réaliser ces économies sur 1 an et demi.
De plus, il y a encore d’autres moyens ici, puisque ceux-ci continuent à être épargnés.
À mon avis, il peut être économiquement judicieux de mobiliser au début autant de fonds propres que possible, justement pour économiser les intérêts variables à payer et surtout augmenter le choix des banques. Même avec des taux variables, le taux d’intérêt proposé peut être calculé en fonction du taux de prêt, il peut donc y avoir d’autres économies d’intérêts en plus du taux d’intérêt plus avantageux à générer.
Personne n’a dit qu’il fallait tout utiliser, même HilfeHilfe ne l’a pas dit, mais les arguments pour en utiliser peu sont malheureusement inexistants, car les problèmes supposés présentés ne se posent pas et doivent être discutés avec la banque, surtout que les arguments en faveur d’un fort engagement sont tout simplement trop convaincants, tant du point de vue économique que du point de vue du choix des banques (en ce qui concerne les critères de décaissement) qui financent les terrains.
Si quelqu’un voulait économiser ces intérêts et augmenter le choix des banques, la perspective ne se présenterait peut-être pas pour lui, s’il prenait les arguments non pertinents de HilfeHilfe comme base de sa décision, et c’est pourquoi je souhaite le préciser, voire corriger.