Neu-Bau-Ling
19.03.2016 12:38:46
- #1
Ne vous accrochez pas autant à l'histoire de la compensation de l'inflation / augmentation de salaire. En principe, il n'a pas tort et la question fondamentale concerne chaque jeune personne qui veut construire. La banque regarde généralement uniquement le revenu actuel, mais pratiquement tous ceux qui ont obtenu un financement "à l'époque" gagnent aujourd'hui nettement plus. Que ce soit par des conventions collectives, des augmentations contractuelles, des changements d'emploi, des formations, etc. Cela n'est que rarement garanti, mais c'est en fait toujours le cas.
Il est certain qu'une partie de cette augmentation de salaire est à nouveau absorbée par la hausse des prix et le style de vie, mais la mensualité est fixée et représente donc, au fil des années, une part proportionnellement de plus en plus petite des dépenses totales. Il souhaite maintenant savoir comment il peut optimiser son financement par rapport à cette "problématique". C’est-à-dire configurer la mensualité de façon à ce qu'elle représente un pourcentage fixe du revenu, au lieu d'un montant fixe en valeur absolue.
Je ne saurais pas non plus s’il serait fondamentalement possible, par exemple, de prévoir une dette résiduelle plus élevée à l’issue de la durée du prêt et de convenir dans un premier temps d’une courte durée de 15 ans seulement. Ou bien commence-t-on avec un faible amortissement qui sera ensuite augmenté ? Ou ne procède-t-on qu’à des remboursements anticipés vers la fin ? Ou existe-t-il encore des produits, analogues à l’assurance-vie en capital proposée autrefois, que l’on alimente parallèlement (avec des mensualités adaptées au salaire) pour rembourser ainsi la dette résiduelle à la fin de la durée ? C’est une réflexion intéressante quand même...
C’est exactement ce à quoi je voulais en venir =)