Plan d'une maison individuelle de 200 m², rez-de-chaussée surélevé, terrain existant, garage double

  • Erstellt am 06.02.2025 23:45:27

ypg

07.03.2025 11:36:46
  • #1

Pour les cloisons intérieures sans caractéristiques structurelles, 11,5 cm sont normaux dans une planification. Si plus tard un ajustement fin est nécessaire et que l'on souhaite transformer une pièce en salle de panique avec des murs extra épais, on peut toujours réajuster.
 

K a t j a

07.03.2025 13:07:36
  • #2

Quelle absurdité. Chez Steiners, les murs extérieurs de 40 cm sont la norme (36,5 + enduit). S’ils sont plus fins, il faut généralement ajouter de l’isolation, de sorte qu’on retrouve 40 cm. S’ils sont plus épais, la maison doit être agrandie vers l’extérieur, pas vers l’intérieur. La différence de prix entre les épaisseurs de briques existe bien, mais à ma connaissance, elle est plutôt dérisoire par rapport au montant total.
 

11ant

07.03.2025 15:20:13
  • #3

Le libre choix ici n’existe que de manière limitée : le béton cellulaire monolithique calibre 365 convient pour la loi sur l’énergie des bâtiments / EH55, pour EH40, c’est plutôt le calibre 425 qui est recommandé.

On perd environ deux virgule sept / deux virgule huit pour cent de surface habitable avec le calibre 425 par rapport au calibre 365 à dimensions égales, donc ça commence à faire. C’est environ un huitième de l’inefficacité de surface due à une planification amateur (peu importe qu’elle vienne ou non de l’architecte). Un mauvais architecte coûte (par le biais d’un volume de construction accru sans gain de valeur habitable !) donc plus que l’intégralité (des deux mi-temps !) des honoraires selon le barème d’un bon architecte. Conclusion : ne pas engager d’architecte ou en prendre un peu doué, c’est, dit dans le marketing politique, « épargner en négatif » !


Selon ce que l’architecte a pris, il a peut-être comparé les prix pièce par pièce à partir du prospectus de bricolage destiné au consommateur final, ce qui donne un aspect plus « dramatique ».
 

K a t j a

07.03.2025 17:54:38
  • #4

Tu ne peux pas réduire l'intérieur de la maison uniquement à cause des briques. Depuis quand cela existe-t-il ? Il faudrait le faire uniquement si le terrain de construction était exploité au millimètre près. Mais cela n'a ici aucune importance. Ce n'est pas pour rien que la surface à payer se base sur les "mètres carrés intérieurs". Tout le reste serait nouveau pour moi.
 

11ant

07.03.2025 20:40:29
  • #5

Le point de vue n’est pas le mien, et je suis d’accord avec toi :

Mais pour le principe « l’épaisseur du mur influence le rapport surface au sol-surface habitable », cela n’a pas d’importance, car ce rapport « souffre » lorsque les murs deviennent plus épais.

Bien sûr, moi aussi je préférerais attribuer l’épaisseur du mur plutôt « à l’extérieur », ne serait-ce que pour ne pas avoir à recalculer les travées des plafonds. Town & Country a procédé de la même manière, à ma connaissance, lorsqu’ils sont passés de 24 à 30 cm d’épaisseur standard des murs. Simplement parce que c’est plus raisonnable. Mais les maîtres d’ouvrage raisonnent souvent à l’inverse : fenêtre de construction moins les murailles égale espace disponible pour habiter.

Du point de vue technique, c’est différent : pour un projet de maison existant, il vaut mieux conserver la face intérieure du mur extérieur et la maison s’agrandit vers l’extérieur avec des murs plus épais ; pour un projet de maison nouvellement conçu, il vaut mieux que la face extérieure du mur extérieur soit congruente avec la grille de 8 mètres.
 

ypg

07.03.2025 21:31:39
  • #6

.. et cela s'équilibre sans escaliers de podium ni cellier gigantesque de toute façon.

Cela n'a généralement aucune importance, car un coefficient d'occupation du sol défini permet également quelques pourcentages de sur-densification.
Et, si je me souviens bien, il n'y a ici que des valeurs approximatives pour le terrain.
 

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