Pour rendre le terrain constructible, un apport en capital plus important est encore nécessaire. Nous pourrions financer le terrain + les frais annexes d'achat avec des fonds propres, mais il ne nous resterait alors plus ou presque plus de capital pour payer la viabilisation.
L’avantage de payer avec des fonds propres serait : nous aurions le temps de planifier la construction tranquillement, car nous n’aurions pas à contracter de crédit pour le terrain + la construction de la maison.
Bon plan, car pas d’intérêts. En revanche, la taxe foncière est vraiment négligeable.
De plus, plus tard pour le prêt construction, le terrain sera comptabilisé comme apport personnel.
Mon plan :
Paiement du terrain
Puis (le taux d’épargne est de 3,5 à 4000 €/mois) d’abord libérer le terrain de tous les broussailles (cela coûte probablement plus en temps de travail qu’en argent ?
Avec un taux d’épargne de 4000 €/mois, on aurait déjà 48 000 après un an, ce qui sonne plutôt bien.
Je ne me tracasserais pas avec les broussailles.
Notre terrain était complètement envahi par divers arbustes. Le terrassier a fait vite le ménage.
(Je ne me souviens plus si c’était un diagnostic de sol ou un bornage, pour l’un des deux, nous avons dû enlever l’herbe d’environ 1,5 mètre de haut, mais les broussailles pouvaient en grande partie rester en place. Le terrassier s’en est alors chargé.)
Je ferais juste attention aux arbres. Et au déroulement dans le temps : chez nous, les travaux ont eu lieu hors période de nidification et de mise bas.
Pour les arbres et les travaux durant la période de nidification et de mise bas, des autorisations pourraient être nécessaires.