Des maisons passives, des sacs plastiques et de la fourrure en polystyrène

  • Erstellt am 26.01.2018 22:22:29

Marvinius II

01.02.2018 20:12:51
  • #1
Deux points ignorés :

A) Une teneur plus élevée en CO2 dans l’atmosphère accélère la croissance des plantes. La période d’équilibre devient plus courte.

B) Il existe déjà des possibilités techniques pour transformer rapidement le CO2 de l’atmosphère en carburant.
(L’électricité électrolyse l’eau, ce qui génère de l’hydrogène et de l’oxygène, on peut industriellement convertir l’hydrogène avec du CO2 en méthanol, essence ou diesel.) Cela permet de boucler le cycle en quelques minutes.

Le point B) n’a actuellement aucun lobby. Avec toute la panique autour du CO2 et du réchauffement climatique, on peut (encore) mieux gagner de l’argent. Il faut réfléchir un peu, ne pas radoter !
 

chand1986

02.02.2018 12:05:38
  • #2


Non.



Non.



Oui.



Non.

-----

Pour expliquer :

A) est faux, car la vitesse d'un processus, disons ici dc(CO2)/dt ne peut dire quelque chose sur le rapport « des périodes jusqu'à l'équilibre » que si les quantités de CO2 à consommer sont identiques. Mais elles ne le sont pas, si l’on postule que plus de CO2 réduirait ici une période (plus comparé à quoi ?).

Plus il y a de CO2, plus la croissance est rapide, mais plus la consommation nécessaire jusqu'à l'équilibre est aussi grande. Comme on passe inévitablement en chemin par la concentration à comparer (à partir de laquelle les fonctions sont identiques), on ne peut jamais être plus rapide, seulement plus lent.
Donc : plus de CO2 nécessite toujours plus de temps pour « l’équilibre » que moins.

B) est à moitié vrai. La technique existe, mais elle consiste en une succession de mauvais rendements (électrolyse de l’eau, production de carburant avec l’hydrogène, utilisation du carburant).
La question est donc quelle part du CO2 est contenue dans l’énergie primaire initiale nécessaire pour maintenir le CO2 dans le cycle. Si nous avions une production d’énergie sans CO2 en abondance, la méthode serait parfaite.
Avec un mix énergétique incluant aussi gaz et charbon, le calcul commence. Quel en est le résultat ? Le sais-tu ? J'affirme que ce n’est rien.
Les chaînes de rendement avec plusieurs étapes mènent très vite à de mauvais rendements globaux. Et seuls ceux-ci sont décisifs !



Avec mes meilleurs remerciements en retour
 

kaho674

02.02.2018 12:24:21
  • #3

Peux-tu expliquer cela encore une fois pour les simples mortels ?
Supposes-tu ici que la consommation de CO2 est proportionnelle à la croissance ? Si oui, est-ce réaliste ? La croissance des plantes ne dépend pas seulement du CO2...
 

Nordlys

02.02.2018 12:51:31
  • #4
J'avoue, ici je ne peux plus qu'observer avec étonnement, car mon Kielä Gesamtschulabi Friedrichsort, juste derrière l'usine de chars, ne couvre plus cela.
 

chand1986

02.02.2018 13:23:06
  • #5


Une analogie simple suffit aussi.

Si tu allumes deux plaques de cuisson identiques exactement pendant 3 minutes, une au niveau 9, une au niveau 5, après avoir éteint, tu as une plaque simplement chaude et une plaque chaude.

Quand elles refroidissent, la plaque chaude perd au début la température beaucoup plus rapidement que la plaque simplement chaude (en °C par minute par exemple). Pourtant, elle met plus de temps à être complètement refroidie, comparée à l’autre plaque. La raison : les fonctions qui décrivent la perte de température par unité de temps en fonction de la température actuelle sont identiques pour les deux plaques. C’est pourquoi il ne sert à rien d’être plus rapide au début parce qu’on était plus chaud – on est toujours en retard.

Remplacez « température » par CO2, « fonction de refroidissement » par croissance des plantes et les deux plaques à températures différentes par deux états avec plus ou moins de CO2.

-----



C’est approximativement proportionnel. La raison pour laquelle A) ne tient pas néanmoins est une autre, décrite plus haut par moi.
 

kaho674

02.02.2018 14:15:10
  • #6
Compte tenu de la pollution actuelle au CO2, cela impliquerait que les quelques bosquets intacts sur Terre croissent de manière exorbitante. J'en doute fortement. D'autres facteurs, comme l'eau et simplement le manque de place / de lumière, constituent selon moi une limite naturelle à ne pas négliger, même à l'échelle mondiale. La forêt tropicale ne peut pas pousser à l'infini, même si elle essaie régulièrement. Là où il y a une feuille, il ne peut pas y en avoir une seconde, etc.
 

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