Des maisons passives, des sacs plastiques et de la fourrure en polystyrène

  • Erstellt am 26.01.2018 22:22:29

kaho674

31.01.2018 13:00:41
  • #1

Ça ressemble un peu à de la fantaisie. As-tu écouté les informations au cours des 5 dernières années ? Ou voulais-tu dire que tout cela est du théâtre et que rien de ce qu'ils diffusent n'est vrai ? Ce serait bien sûr possible. Mais ma vitre propre sur l'autoroute en été pense autrement.
 

Nordlys

31.01.2018 13:02:00
  • #2
Chez Freud, on en arrive finalement toujours à S....[emoji4][emoji111]️.
Mais c'est difficile dans une maison passive. Ces trucs surchauffent facilement.
 

kaho674

31.01.2018 13:05:27
  • #3

Et qu'est-ce qui est difficile là-dedans ?
 

Nordlys

31.01.2018 13:11:06
  • #4
ben, à cause du point de fusion du [Plastiktüte], je pensais....
 

kaho674

31.01.2018 13:16:54
  • #5
Sur le sujet : Donc, j'aimerais avoir une maison passive avec beaucoup d'isolation. Malheureusement, je suis trop pauvre pour ça. L'idée de consommer presque plus d'énergie me passionne. Rien que pour faire un pied de nez aux compagnies d'énergie avides.
 

chand1986

31.01.2018 13:18:37
  • #6


C'est vrai, néanmoins, on ne peut pas rendre la distance entre les temps A et D arbitraire. Il faut rester plusieurs ordres de grandeur en dessous de l’échelle temporelle à laquelle les gaz à effet de serre contribuent de manière significative au réchauffement de la Terre en augmentant la quantité d'énergie accumulée par le rayonnement solaire. Sinon, le tampon est sans pertinence pour l’objectif « protection du climat ».



Il s’agit du bilan global. La quantité que je respire et brûle ici peut très bien être capturée au Brésil ou en Nouvelle-Zélande. Comme nous considérons le CO2 sur l’ensemble de l’atmosphère lorsqu’il s’agit de réchauffement planétaire, seul un bilan global a du sens.

Le « en même temps » dans ma réponse à Karsten signifiait dans une échelle de temps qui reflète les changements climatiques. Pas à l’échelle des secondes ou des jours, je me suis exprimé de manière imprécise.

Pourtant, on ne peut pas appliquer l’argument du bilan de manière générale sur des périodes temporelles arbitraires, car les millions d’années entre la formation et la combustion du charbon et du pétrole ne rendent pas justice à la problématique.



Attention avec la mer. Elle est une puissante puits de CO2, dont l’effet n’est pas compensé par les algues — même pas dans une moindre mesure.
 
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