Après qu’ici, dans le domaine thématique « chez qui je peux tout obtenir d’une seule source ou les Pappenheimer se connaissent au moins suffisamment bien entre eux pour un jeu d’équipe réussi », selon mon goût, une grande quantité de « mythes en sachets » a été déversée une fois de plus, je souhaite expliquer cela de nouveau de manière fondamentale :
Les GU pour (pierre sur pierre ou aussi en construction bois)
maisons fabriquées en chantier sont (du moins de petite et moyenne taille) essentiellement des maçons et des bétonniers ou charpentiers et ne peuvent pas, pour des raisons juridiques artisanales, faire autrement que de collaborer avec des sous-traitants pour certains métiers. Les GU naviguant sous la bannière de grands noms sont régulièrement plutôt petites que moyennes. Seuls les vrais grands GU avec plusieurs centaines d’employés dans le domaine technique couvrent effectivement – alors même aussi dans les corps de métier du second œuvre – l’ensemble ou presque l’ensemble de la palette.
Les GU pour
maisons largement préfabriquées ont régulièrement une équipe fixe pour les travaux en atelier et le montage et ne connaissent bien leurs sous-traitants que là où ils construisent dans la sphère d’un site d’usine. À l’échelle supra-régionale, les sous-traitants ne suivent généralement pas et ne sont donc pas des membres fixes de l’équipe sur les chantiers éloignés. Une exception est constituée par ceux « fabricants » qui, pour leurs sous-traitants, pratiquent ce que l’on pourrait gentiment appeler une « mise en concurrence à l’échelle européenne ».
Architectes et GU – pour autant qu’ils soient chacun proches du lieu de construction – ne diffèrent en rien dans le degré de connaissance de leurs Pappenheimer et, par conséquent, de leur jeu d’équipe. Lors de la passation individuelle, il faut distinguer entre la passation directe par le maître d’ouvrage (généralement avec des plans d’autorisation envoyés par mail) et la passation individuelle par l’architecte (après un appel d’offres professionnel). Avec un GU, on peut arriver à un résultat non seulement parce que l’on s’adresse consciemment qu’aux GU – mais aussi parce que des GU répondent à un appel d’offres !
Il peut donc déjà y avoir, dans une certaine mesure, une recommandation générale selon le type d’acheteur.
Non seulement cela, mais aussi selon la nature de l’objet : une maison intermédiaire – si ce n’est pas un objet existant – se cherche au mieux comme objet de promoteur. Avec les formes de maison « jumelée ou en rangée », il vaut mieux s’adresser à un promoteur et en second lieu à un planificateur commun. Seule la maison individuelle neuve isolée voit toutes les voies également bonnes selon la forme de la maison (et c’est alors le « type » de maître d’ouvrage qui décide quel chemin convient le mieux). Ici aussi, pour une maison intermédiaire, c’est encore l’architecte (éventuellement avec GU) si l’on considère
les chois de variantes comme un plaisir, et GU sans architecte si l’on considère
les chois de variantes comme un fardeau. Le fait que pour un objet existant, le GU serait de par sa nature le meilleur choix vaut aussi seulement si l’on s’autorise à être avare et paresseux pour ne pas s’occuper du thème « relevé de l’existant ».