Nous avons maintenant presque effrayé la TE. Ma question sur la sécurisation en cas de séparation était cependant sérieuse. Il pourrait aussi être l’objectif qu’elle acquière effectivement des parts dans le bien immobilier, grâce à son paiement de loyer. Je ne sais pas comment on règle ce genre de choses, sauf à se rendre chez le notaire chaque année pour transférer à nouveau x % ?
Alors on aurait des frais notariaux permanents... certainement coûteux. Sans parler du fait que je ne sais pas si la banque ne doit pas même donner son accord à chaque fois à cause de l’hypothèque. Encore mieux, on ne fait même pas inscrire les nouveaux % par paresse.
La solution est en fait assez simple : les deux dans le registre foncier, les deux dans le financement. On pourrait répartir les pourcentages selon les apports en capital propre, les revenus ou autre chose, mais comme chaque partenaire apporte toute sa force de travail (emploi salarié, garde des enfants ou autre), 50 % est la solution la plus simple, la plus courante et selon moi aussi la plus juste. Même en financement, les deux sont responsables à 100 % et non pas proportionnellement.
Ou chercher un partenaire qui a la même capacité financière que soi — les enseignants me viennent spontanément à l’esprit.