et comment la banque réagit-elle en cas de séparation concernant la décharge de l'emprunteur ?
La banque s'intéresse-t-elle à l'acte notarié ?
1) une décharge de l'emprunteur est toujours examinée et n'est pas garantie
2) si des parties du prêt (ici la maison) doivent également être contractées par le co-propriétaire potentiel, alors il devrait également avoir accès à la maison ou à ses actifs. Ici, si les droits de propriété ou les parts ne sont pas connus, ou doivent être clarifiés ensuite selon l'état d'amortissement, une hypothèque de propriétaire peut être inscrite en section 3 en rang subordonné, de sorte qu'un accès demeure toujours possible. Cela garantit qu'en cas de séparation, le propriétaire ne peut pas simplement vendre la maison sans clarifier la situation financière.
3) sans garantie foncière, le problème est l'accès au bien, respectivement aux parts de copropriété acquises, même si l'on a remboursé le crédit pendant des années, et sans participation au prêt, le problème peut être que l'un ne peut pas obtenir le prêt seul dès le départ, ce qui peut ensuite constituer le principal problème pour une décharge de l'emprunteur.
3) ici, la question n'était plutôt pas celle de la qualité d'emprunteur, mais de la répartition des valeurs de parts, d'autant plus que ce problème se pose toujours en cas de parts égales et de deux emprunteurs en cas de séparation. Ici, rien ne peut être réglé tactiquement à l'avance.
4) l'utilisation du bien immobilier est rémunérée par la participation proportionnelle aux coûts d'intérêts, tandis que le remboursement et une éventuelle plus-value créent des actifs auxquels on devrait déjà participer avec une sécurité hypothécaire.
Comme déjà décrit, sans avocat/notaire, rien ne se fait, cela doit être sécurisé individuellement selon la situation de vie, et pour l'un la voie, la solution et la sécurité sont les meilleures, et pour quelqu'un d'autre, une autre voie !