exto1791
10.05.2021 13:52:09
- #1
Les critères d'exclusion contractuels ne s'appliquent pas. Avec le prix fixe, le fournisseur assume le risque de prix. Les augmentations de prix ne constituent pas une force majeure. Celle-ci impliquerait une inevitabilité. Par exemple, par le stockage pour minimiser le risque, le fournisseur aurait eu une possibilité d'éviter cela. Sur la base des extraits du contrat, le maître d'œuvre principal ne peut pas formuler une demande légitime. Cependant, il est possible que quelque chose soit mentionné à un autre endroit dans le contrat.
Je trouve très bien le conseil de de voir cela de manière pragmatique. Si l'on résout ensemble un problème dès le départ, la probabilité d'obtenir à la fin une meilleure prestation augmente. Si l’on reste inflexible sur un point lors du premier problème et que l’on suppose latemment des intentions avides chez l’autre partie, le projet prendra une autre tournure – le risque de stress et de mauvaise qualité augmente.
je trouve cela pragmatique ! Bonne chance.
Cela peut être vrai et chaque maître d'ouvrage a définitivement cet objectif !
Personne ne veut d’une maison condamnée à l’échec dès le début.
Finalement, tout dépend aussi de la "sagesse" avec laquelle on a choisi le maître d'œuvre principal.
Par cela, je veux dire : avoir éventuellement vérifié la solvabilité au préalable – référencé les références, etc.
Si c’est vraiment le bon maître d'œuvre principal, alors il devrait être le dernier à répercuter les coûts sur le maître d'ouvrage, mais plutôt assumer lui-même ces coûts et essayer de les "négocier" avec son fournisseur (corps de métier + fabricant au préalable).
Je le remarque dans notre entreprise :
Des hausses de prix dans le secteur de l’acier de plus de 15 %. Cette année, nous n’allons PAS procéder à une augmentation des prix --> c’est en fin de compte aussi un signe pour le client – cela témoigne d’une grande solvabilité et d’une entreprise saine.
Répartir 10 000 € à 50/50 fait bien PLUS mal au maître d'ouvrage qu’au maître d'œuvre principal. Pour moi, 50/50 ne serait donc jamais une solution satisfaisante ?? Cela doit dépendre du capital propre etc. qui se trouve derrière. Pour le maître d'œuvre principal, 10 000 € ne représentent rien du tout --> pour le maître d'ouvrage c’est beaucoup d’argent...
Personnellement – et je procéderais ainsi aussi si je me trouvais dans cette situation – je refuse simplement de devoir assumer le risque entrepreneurial. En fin de compte, le maître d'œuvre principal peut à tout moment augmenter son prix lors de la remise de l’offre. L’un signe, l’autre non... Mais ce n’est pas parce que le marché ne suit pas que je peux simplement transférer tout mon risque (ou 50/50) sur le maître d’ouvrage. C’est en fin de compte de loin la solution la plus simple pour le maître d'œuvre principal :D
Comme dit, si on parle a posteriori de 2 000 €, on peut toujours y réfléchir, par exemple si ton maître d'œuvre principal est un "********", malgré tout je ferais tout pour obtenir ma maison sans aucun coût supplémentaire.
Et soyons honnêtes : si le maître d'œuvre principal est situé à proximité, ou agit régionalement et a été choisi "intelligemment", la réputation vaut bien plus que 10 000 € abandonnés. Il suffit de crier assez fort et très souvent on obtient ce que l'on veut --> il y a une raison très claire à cela : 90 % des maîtres d'ouvrage céderaient dans ce cas :D