Stagenberger
18.02.2018 15:51:19
- #1
Merci beaucoup pour tous les apports. Lorsque j'ai lancé le fil de discussion, je ne m'attendais pas à autant de réactions en si peu de temps.
Moi aussi, je connais des personnes qui ont en partie sous-estimé leur financement pour la maison et qui doivent / peuvent maintenant exercer des emplois supplémentaires le soir ou le week-end.
Pour ma part, j’ai tenu pendant plusieurs années, avec discipline, mon tableau Excel de gestion du budget et j’ai vraiment noté chaque petite dépense afin d’obtenir une image vraiment réaliste de ma capacité d’épargne, sans être ni avare ni dépensier.
Avec un remboursement de 2 %, la mensualité de crédit attendue représenterait 40 % du revenu du ménage, avec 1 % ce serait 30 % et avec 1,5 % 35 %. Avec 3 %, cela représenterait 52 %.
Ma banque principale estime que la mensualité ne devrait jamais dépasser le tiers du revenu net, sur Internet on trouve aussi parfois 40 % comme valeur maximale indicative.
Ma capacité d’épargne sur 5 ans se situait entre 30 % et 60 %.
Parfois, j’aurais pu supporter un remboursement de 3 % ou plus, tandis qu’à d’autres moments, 2 % auraient été justes.
De cette réflexion, et en tenant compte des coûts d’entretien de la maison, je parviens au résultat suivant (d’où le fil) :
S’il n’y a pas de « chantiers » importants, je peux théoriquement supporter des remboursements jusqu’à 3 %. Mais dès qu’un ensemble de dépenses survient rapidement (voiture, litiges juridiques non couverts par l’assurance protection juridique, soutien de membres de la famille dans le besoin, frais de déplacement plus élevés à cause d’une mutation), une mensualité aussi élevée serait alors peut-être difficilement supportable.
C’est pourquoi je pensais : mensualité basse, moins de pression.
Moi aussi, je connais des personnes qui ont en partie sous-estimé leur financement pour la maison et qui doivent / peuvent maintenant exercer des emplois supplémentaires le soir ou le week-end.
Pour ma part, j’ai tenu pendant plusieurs années, avec discipline, mon tableau Excel de gestion du budget et j’ai vraiment noté chaque petite dépense afin d’obtenir une image vraiment réaliste de ma capacité d’épargne, sans être ni avare ni dépensier.
Avec un remboursement de 2 %, la mensualité de crédit attendue représenterait 40 % du revenu du ménage, avec 1 % ce serait 30 % et avec 1,5 % 35 %. Avec 3 %, cela représenterait 52 %.
Ma banque principale estime que la mensualité ne devrait jamais dépasser le tiers du revenu net, sur Internet on trouve aussi parfois 40 % comme valeur maximale indicative.
Ma capacité d’épargne sur 5 ans se situait entre 30 % et 60 %.
Parfois, j’aurais pu supporter un remboursement de 3 % ou plus, tandis qu’à d’autres moments, 2 % auraient été justes.
De cette réflexion, et en tenant compte des coûts d’entretien de la maison, je parviens au résultat suivant (d’où le fil) :
S’il n’y a pas de « chantiers » importants, je peux théoriquement supporter des remboursements jusqu’à 3 %. Mais dès qu’un ensemble de dépenses survient rapidement (voiture, litiges juridiques non couverts par l’assurance protection juridique, soutien de membres de la famille dans le besoin, frais de déplacement plus élevés à cause d’une mutation), une mensualité aussi élevée serait alors peut-être difficilement supportable.
C’est pourquoi je pensais : mensualité basse, moins de pression.