ypg
09.11.2019 16:44:27
- #1
... mais pas par la cour.
Imaginez simplement vos trois terrains avec cour... en un seul... et ensuite votre accès.
Maintenant, quelqu'un arrive et souhaite accéder à son terrain, à savoir ce jardin. Et il sait légalement qu'il obtiendra aussi un droit d'usage. Vous lui proposez donc ce chemin privé.
Puis il demande s'il peut aussi utiliser votre cour ou votre avant-cour. Il préférerait beaucoup plus venir du sud-ouest plutôt que du sud-est, pour une raison quelconque. Vous dites : non, prends le chemin privé et réjouis-toi.
Pourquoi alors penses-tu qu'il obtiendrait tout simplement de l'administration le droit de passer par votre avant-cour, alors qu'il a le chemin direct, là où il y a la dépression, et que le chemin privé passe précisément par là.
Mis à part le fait que je ne peux pas voir l'avenir, comme personne, et que personne ne sait ce qui va arriver, on ne devrait pas considérer le chemin le plus compliqué comme le chemin le plus proche, ni se confronter à l'improbable. Cela ne fait que vieillir.
Imaginez simplement vos trois terrains avec cour... en un seul... et ensuite votre accès.
Maintenant, quelqu'un arrive et souhaite accéder à son terrain, à savoir ce jardin. Et il sait légalement qu'il obtiendra aussi un droit d'usage. Vous lui proposez donc ce chemin privé.
Puis il demande s'il peut aussi utiliser votre cour ou votre avant-cour. Il préférerait beaucoup plus venir du sud-ouest plutôt que du sud-est, pour une raison quelconque. Vous dites : non, prends le chemin privé et réjouis-toi.
Pourquoi alors penses-tu qu'il obtiendrait tout simplement de l'administration le droit de passer par votre avant-cour, alors qu'il a le chemin direct, là où il y a la dépression, et que le chemin privé passe précisément par là.
Mis à part le fait que je ne peux pas voir l'avenir, comme personne, et que personne ne sait ce qui va arriver, on ne devrait pas considérer le chemin le plus compliqué comme le chemin le plus proche, ni se confronter à l'improbable. Cela ne fait que vieillir.