Estimation des coûts de construction d'une maison individuelle dans la région de Tübingen

  • Erstellt am 02.04.2025 21:54:41

Arauki11

08.04.2025 09:27:44
  • #1

Une urgence arrive parfois, et à toi-même pas moins souvent qu’à un ami. Dans ma vie, une promesse est une promesse - dans les deux sens de façon égale. Celle-ci est faite par une personne fiable seulement après avoir examiné les incertitudes. Sinon, ce n’est pas une promesse, mais seulement des bavardages futiles.
Tu souhaites le présenter ainsi et affirmer de manière générale qu’il n’existe pas d’accords fiables avec des amis ou d’autres personnes, ou qu’il n’y a qu’une seule personne fiable parmi tous ces buveurs de bière mangeurs de döner, et que bien sûr c’est toi-même, qui d’autre ?

Librement d’après la maxime "j’envoie mon meilleur homme et j’arrive tout de suite moi-même". Je ne nie pas qu’on peut/doit faire son travail seul. Que cela soit effectivement mieux dans tous les cas, je ne peux pas le confirmer.

Je ne peux pas contredire ton expérience personnelle, même si le terme "trier" appliqué aux amis me surprend quand même. Cela reste cependant ton expérience personnelle.

Pas des mondes, mais très certainement dans des environnements différents, qu’on s’est d’ailleurs créés soi-même en assumant sa propre responsabilité.

Je ne connais pas le "BroCode", ou seulement de temps en temps dans des films sur des types de rappeurs qui, en général, ne construisent pas de maisons.
Il existe bien sûr toujours et dans tous les cas des arguments invincibles, qui n’apportent pourtant rien dans une discussion sérieuse. Par exemple, mon fils était au 30e étage quand le tremblement de terre a eu lieu en Thaïlande, moi-même j’ai eu un problème de santé il y a des années, une connaissance a eu un accident. C’est ainsi dans la vie de tous, plus tôt ou plus tard, mais devrait-on arrêter de construire pour autant ? Est-ce que moi ou elle avions à disposition pour chacune de ces urgences, le levier d’urgence dont tu parlais ? Certainement pas.

Pour toi apparemment oui. Dans ma vie, l’ami discute ceci avec sa femme avant et vérifie ses possibilités et sa réelle disponibilité avant de donner une promesse ferme. Alors ce n’est pas la faute des "femmes qui râlent constamment", mais à nouveau ta propre responsabilité de te créer un environnement fiable. Nous avons une image manifestement différente des amis et apparemment aussi des femmes, ta nécessité de généraliser négativement contre les amis buveurs de bière mangeurs de döner et à présent aussi contre les femmes "qui râlent" comme d’habitude appartient à l’âge de pierre.

Mon conseil est le contraire d’une généralisation, c’est justement la clarification concrète de savoir si et quelle aide peut être attendue. Tu devrais relire et ne pas t’emporter dès le deuxième mot.

Dit par qui ?
Les savants pathologiques se retrouvent souvent seuls dans la vie ou se sentent abandonnés et bien sûr, ce sont toujours les autres les coupables et/ou idiots.

Ta prochaine généralisation ne touche même pas la cible. Ce qui est amusant, c’est que tu m’accuses de généraliser alors que tu enites un véritable déluge ici.
Dans mes nombreux projets de construction, il y a toujours eu des problèmes, parfois même importants. Ceux-ci ne venaient pas de copains peu fiables, mais souvent même de moi-même; mais qui aime l’admettre quand on peut en accuser les autres.
Ta prétention ci-dessus, qu’on ne peut pas compter sur les accords avec les amis dans 95 % des cas, ne mérite aucun autre commentaire et montre bien la singularité apparente de ta vie ou de ton environnement. Mettons fin à cette digression plutôt triste d’un point de vue humain, il s’agit de choses importantes pour le TE.

D’après les textes que tu as écrits jusqu’ici, je suppose que tu comprends mon conseil et c’est bien là tout ce qui compte.
Tu dois savoir pour ton projet dans quelle mesure concrète tes amis peuvent et veulent t’aider. Entre 0 et 100 tout est possible, même si tout le monde ici ne le connaît pas. Il faut la clarté sur les prestations que ton copain peintre assume et de quelle manière, ainsi que le carreleur. Si finalement c’est zéro ou juste un peu, c’est aussi une découverte importante.
Dans la mesure où tu pourrais effectivement enlever complètement certaines parties du chantier (par exemple peintre, carreleur), un fournisseur comme Town & Country devrait probablement être exclu, car les crédits seraient apparemment trop faibles. Alors il te faudrait un autre type de fournisseur. Pour notre maître d’œuvre général, nous avons pu (du dû) enlever librement certains corps de métier et les confier, mais nous avons reçu en retour le crédit complet. Cela concernait par exemple chez nous l’escalier en bois, la façade, les sols y compris la structure en bois et l’isolation (sauf salle de bain), les appuis de fenêtres, etc.

Ouf, les appels au döner dans les gradins ont trop insisté un conseil simple, à savoir vérifier exactement l’aide manuelle des amis dont tu as parlé, puis réfléchir en fonction de ce résultat aux étapes suivantes.
 

Musketier

08.04.2025 10:29:19
  • #2
Je peux déjà comprendre MachsSelbst. 1-2 jours, chaque copain aide sûrement volontiers. Au-delà, c’est là que le bon grain se sépare de l’ivraie ou que le copain espère la même faveur lors de sa propre construction. Donc, si on a pendant des semaines des soutiens assidus de plusieurs personnes, on peut tout à fait supposer qu’on aidera aussi pendant de nombreux week-ends sur d’autres chantiers par la suite.
 

Arauki11

08.04.2025 11:13:58
  • #3

Et qu’est-ce qui t’empêche de clarifier cela à l’avance, pour l’intégrer ensuite dans ta planification de construction ??
Les amis ne sont pas obligés d’aider pour la construction d’une maison, qui le dit ou qui part même de ce principe ? Pas moi.
Le lecteur attentif lit ici qu’il peut aussi y avoir zéro aide d’un ami et que c’est tout aussi correct. Mais si, comme ici, on parle d’aide, je ne vois pas pourquoi il ne faudrait pas la vérifier à l’avance au lieu de partir d’un désir arbitraire.
Dans ma phase de vie actuelle, je ne peux/veux plus travailler dur sur des chantiers étrangers, et je le dis tout simplement. Est-ce que je l’attends dans l’autre sens ? Non, comment pourrais-je ?

Partir de quelque chose sans la clarifier est précisément la source du problème, quand on nourrit des attentes sans aucune raison au lieu d’en discuter de manière contraignante, et si c’est non, alors c’est non.
J’ai eu un projet sans aucune aide extérieure. Mais ça allait très bien comme ça, car il ne faut pas m’aider pour être mon ami, ni que cela fasse obligatoirement partie de mon amitié.
Mon oncle nous a vraiment tout fait pour ce qui est du bois dans la maison bi-familiale, sauf la toiture ; il nous l’avait promis et il voulait que ce soit ainsi.
Si j’en avais douté, ça l’aurait blessé. J’ai dernièrement monté la cuisine de mon fils dans les délais. S’il avait douté de ma fiabilité, est-ce que ça m’aurait blessé ? Un jeune ami nous aide encore aujourd’hui régulièrement pour des choses difficiles dans la maison et je peux compter dessus dans le cadre de nos accords.
Malheureusement, ce genre de discussions (de plus en plus de nos jours) glisse vers l’extrême ou est intentionnellement déformée, pour en arriver à ce que je sois le seul juste et fiable. Mais on pourrait savoir qu’il faut toujours d’abord se regarder dans son propre miroir quand quelque chose tourne mal, car la plupart du temps on porte une grande part de responsabilité dans un échec ; mais l’admettre est souvent plus difficile que de blâmer les autres.

Une vision tout à fait compréhensible, mais qu’on discute clairement à l’avance au lieu de tourner autour du pot avec des espoirs et des attentes. Est-ce vraiment si difficile de parler ouvertement des choses ensemble, puis peut-être de vivre avec un non du dit « bro » ? Désolé, ce n’est pas mon truc.
Encore Personne ne dit que des amis doivent aider ni combien. Mais si cela est en question, il faut le clarifier de manière fiable à l’avance. C’est ce que je fais dans tous les autres domaines de la vie aussi, avec ma femme (qui chez certains, sûrement pas chez moi, râle constamment) ; je compte sur des personnes de mon entourage privé, après avoir convenu quelque chose avec elles. Et si cela ne marche jamais ou que je me sens ici même trahi (mot-clé : potes feignants qui jouent au « Döner »), alors je devrais reconnaître ma propre part et changer en conséquence au lieu de douter globalement de la valeur des amitiés ou des accords.
 

ypg

08.04.2025 11:49:29
  • #4

Différencie un pote d'un ami, et ça prendra sens.
En fin de compte, il s'agissait ici de potes, pas d'amis.
 

Arauki11

08.04.2025 12:07:40
  • #5

Je ne saurais dire qu’il existe une démarcation universellement stricte à ce sujet. Pour moi en tout cas, un engagement est quelque chose que je donne consciemment ou pas, en étant également conscient des conséquences. Cela vaut aussi bien pour mon ami, mon pote, mon voisin ou mon facteur, mais bien sûr chacun peut faire comme il l’entend.
Justement, avec (dû à mon âge, plutôt plus d’) expérience, je conseille également à l’auteur du sujet de clarifier les choses à l’avance, mais je constate souvent, notamment parmi les plus jeunes, que ce qu’ils ont dit n’est parfois plus pris totalement au sérieux et surtout qu’ils préfèrent éviter les conversations vraiment ouvertes.
C’est sans doute ainsi que naissent des appellations soi-disant ultra-cool comme « Bro » (frère) ou d’autres exagérations en tout genre.
L’auteur saura situer ce conseil ou ces remarques dans son propre contexte, comme cela lui convient, et c’est là l’essentiel.
 

wiltshire

08.04.2025 12:21:10
  • #6

Tu parles d'engagements contraignants au sein de la famille, des amis, du voisinage et du cercle de connaissances ?
Nous avons manifestement des environnements différents.

Cette idée m’est déjà étrangère : réfléchir à un « levier » pour forcer quelqu’un à m’aider alors qu’il s’y est engagé. Mon expérience : si l’un fait défaut, il y en a un autre qui prend le relais. Les autres peuvent aussi compter sur moi, et en cas de besoin, je modifie mes plans pour venir en aide.
Comme dit, nous vivons dans des environnements différents.
Le « truc » est assez simple. Celui qui façonne son environnement et s’investit y rencontre des personnes ayant des attitudes similaires, et la fiabilité mutuelle fonctionne alors. Il n’est même pas nécessaire de beaucoup s’apprécier ou d’être amis. C’est tout simplement le vieux concept de la force collective dont chacun profite.
 

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