Ta théorie échoue déjà dans le premier paragraphe face à la réalité.
Dans ta réalité ou chez toi, cela peut être ainsi. Dommage.
Apparemment, tu as oublié que j’ai pratiqué exactement ça lors de ma construction.
J’avais des engagements clairs sur qui aidait quand, comment et si c’était le cas ou non ; tous ont été respectés. Ce qui n’était pas possible n’a pas été promis, tout simplement.
On ne conclut pas des accords seulement sur un chantier, mais partout dans la vie quotidienne, et la fiabilité ainsi que la clarté devraient être une base indispensable d’une amitié ; c’est du moins comme ça que je procède, mais je ne doute pas que ce ne soit pas le cas chez toi.
quand on doit aider un pote pour le quatrième week-end consécutif et que la femme râle, demandant quand on va enfin faire quelque chose avec les enfants.
Alors ton ami t’a sûrement raconté des histoires ou tu n’as pas clarifié fermement les choses, ou les deux. Quoi qu’il en soit. Nous n’avons pas besoin de continuer à débattre pour savoir si les gens peuvent conclure des accords fermes entre eux. Chacun choisit son propre entourage et en est aussi entièrement responsable.
je ne fais que décrire mon expérience, qui correspond à celle que je constate autour de moi.
Comme dit, je ne doute pas de tes expériences mais (voir ci-dessus pour la responsabilité personnelle dans le choix des amis).
La plupart des maîtres d’ouvrage autour de moi galèrent seuls, l’aide vient peut-être une fois toutes les 2-3 semaines.
Cela peut être le cas, peut-être qu’ils n’ont tout simplement pas prévu autre chose ou ne connaissent personne pour les aider. Dans ce cas, c’est aussi une clarté et cela ne contredit pas ma déclaration.
Il doit de toute façon décider lui-même.
Toujours – ici aussi, la responsabilité personnelle s’applique !
L’espoir n’est pas une bonne tactique.
L’espoir est le contraire d’un engagement. Pourtant, si j’ai un bon entourage, l’espoir est souvent récompensé (en plus de l’aide convenue).
Avec une telle attitude « Ce sont toujours les autres qui sont fainéants, qui mangent mon Döner et boivent ma bière », j’ai du mal, car je n’ai jamais vécu ça dans ma vie. J’ai beaucoup fait seul ou avec ma femme, mais j’ai aussi toujours reçu de l’aide sur différents projets de construction et surtout en cas de besoin, quelqu’un était là. Je l’apprécie encore aujourd’hui !
Mais ici aussi, c’est toujours un donnant-donnant et peut-être faut-il aussi voir ce que l’on a donné ou – de façon ferme – ce que l’on est prêt à donner soi-même. Il existe aussi beaucoup de chemins vers Rome.