Qui est "nous" ? Si cela inclut l’architecte, il pourrait être le problème.
"Nous" c’est ma femme et moi. Nous nous étions d’abord concentrés sur la hauteur du mur de soubassement (Kniestock), qui en soi n’était pas encore un problème. Ou plutôt un problème que nous aurions accepté. Ce n’est qu’en combinaison avec la pente du toit que cela semblait devenir un critère éliminatoire. L’architecte a, selon ce que j’ai dit, après un contact informel, conçu quelque chose qui s’appuyait sur le mur de soubassement de 60 cm et une pente de toit de 30 degrés. Cela nous a fait prendre conscience que c’était en fait une restriction plus importante que ce que nous avions imaginé jusqu’à présent. Nous sommes alors retournés consciemment dans la rue et avons constaté que la maison en face (et la maison voisine) étaient manifestement, et après consultation des propriétaires concernés, construites différemment. C’est pourquoi j’ai, il est vrai de manière amateur, examiné à nouveau le plan d’urbanisme et me suis posé la question du "pourquoi".
... se réfère aux zones WR avec le zéro en exposant, c’est-à-dire au nord-est du parc sportif et à l’ouest de la 5ème modification. Cette restriction ne s’applique pas aux parcelles marquées en rouge dans ton extrait.
Voilà ! La lumière commence à se faire. C’était l’indication décisive.
Cela signifie, en termes simples, que pour notre parcelle ciblée il n’y a pas de restrictions "particulières" concernant le mur de soubassement (donc "seulement" les "habituelles" dans le plan d’urbanisme), mais seulement concernant la pente du toit ?
Quelles pentes de toit ont-ils ?
Je n’avais pas encore (encore) questionné la pente du toit. Mais le mur de soubassement, oui. Le voisin juste à côté et celui juste en face avaient chacun, selon leur propre déclaration, un mur de soubassement d’un mètre.